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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 21:32

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coucou les z'amis! Maune fait mumuse ! haaaaaaaaaa......... les deux pattes........dos coincé peut pas me promener......pfffit !

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 15:40

 

 

 

 

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Fils du poète Antoine Gérin-Lajoie,et premier sociologue québecois , il étudie au séminaire de Quebec, puis fait son droit à l'Université Laval. Séjournant à Paris, il découvre sa vocation sociologique en 1886.

D'abord sténographe judiciaire, il devient secrétaire personnel du ministre Auguste-Réal Angers. À partir de 1903, il traduit les débats de la Chambre descommunes du Canada.

 

 

Le prix Léon-Gérin et la médaille Innis-Gérin sont nommés en son honneur.

 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_G%C3%A9rin

 

 

 

Sociologue avant la lettre, Léon Gérin a tracé en solitaire la voie de la sociologie canadienne. Tout au long de sa vie il s'est intéressé, souvent par le biais de l'histoire, aux conditions de vie de la société canadienne-française.

Vie et oeuvre

La vie de Léon Gérin correspondit fidèlement à un dessein qu'il en esquissa à son retour de Paris: choisir un mode d'existence comportant suffisamment de loisirs pour lui permettre de s'adonner à sa passion intellectuelle, les études sociales. Sa vie fut littéralement un diptyque. Professionnellement, il redevient d'abord sténographe judiciaire à Montréal. À partir de 1892, il
habitera Ottawa comme fonctionnaire fédéral: secrétaire du ministre de l'Agriculture, l'honorable A.R. Angers; ensuite secrétaire du ministre de la Milice, l'honorable A. Desjardins en 1895; puis, après la défaite du gouvernement conservateur en 1896, secrétaire du professeur J.W. Robertson, commissaire de l'Agriculture; enfin, à partir de 1903, traducteur des débats à la Chambre des communes. Il est nommé chef de service en 1917 et il remplira ce poste jusqu'à sa retraite, en 1936. En 1904, il a épousé une Québécoise, Adrienne Walker, de qui il eut quatre enfants, un fils et trois filles.

 

 

 

  • L'habitant de Saint-Justin, 1898,
  • L'Exploitant agricole émancipé, 1937
  • Aux sources de notre histoire. Les conditions économiques et sociales de la colonisation en Nouvelle-France, 1948
  • Le Type économique et social des Canadiens. Milieux agricoles de traditions françaises, 1948

 

http://classiques.uqac.ca/classiques/Gerin_leon/Gerin_leon_photo/Gerin_leon_photo.html

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 15:16
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Un artiste attaché à Erquy
Né à Erquy ( Côtes d’Armor ) au mois de décembre 1877 au lieu dit ''La Ville Bourse'', Léon Hamonet demeurera fidèle au pays qui l'a vu grandir. Partageant son talent de dessinateur avec sa jeune soeur Elise et leur oncle Lucien, en effet, Léon HAMONET, dès l'enfance, croque avec bonheur les sites qui l'entourent. S'il se passionne pour la mer, la fragilité de sa santé ne lui permettra pourtant pas de poursuivre les activités paternelles. Henri HAMONET, son père, en effet, armateur puis capitaine au long cours, s’embarquait depuis le port de Dahouët : la cale actuelle en porte encore le nom. Comme souvent, c'est le frère aîné de Léon, également prénommé Henri, qui, témoignant d'aptitudes remarquables, devait poursuivre la tradition familiale. Mais, revenant d'un séjour offert par son père, le jeune homme, alors âgé de 20 ans, meurt en mer. Malgré sa santé fragile et d'encourageantes aptitudes artistiques, toujours cultivées, c'est Léon qui semble alors désigné pour suivre les traces paternelles. Ainsi, en 1903, il part travailler comme employé aux écritures pour la société des sècheries Cabisol de Port de Bouc à Saint-Pierre et Miquelon. Il n'y restera que quelques mois ...
A son retour, son père lui fait construire un atelier derrière la Ville-Bourse, entre le poulailler et le verger. C'est là que Léon HAMONET va exercer ses talents de peintre jusqu'à sa mort.
De l'Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux aux ruelles de Dinan
Au début des années 1890, Henri HAMONET décide d'installer sa famille à Bordeaux afin de ne plus imposer à son épouse Elise et à leurs enfants de trop longues périodes d'absence. Léon HAMONET y effectue sa scolarité. Ses talents artistiques s'affirmant dans un climat familial cultivé et ouvert, ses parents accepteront de l'inscrire à l'Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux.
Auprès du maître Alfred SMITH, proche de COROT et de COURBET, Léon HAMONET intègre également les leçons impressionnistes dans le traitement comme dans le choix des thèmes décrits. Datée de la fin des années 1890, une petite huile montre la place de l'église d'Erquy animée de silhouettes aux vêtements sombres et aux coiffes réginéennes blanches, traité dans une palette colorée, dominée de teintes orangées. Daté de 1903, baignant dans une lumière bleutée caractéristique, "Le séchage de la morue" montre au premier plan les précieux poissons, suggérés en touches alertes ; au second plan, les maisons de bois s'inscrivent en aplats denses, alors qu'on devine au loin les reliefs dénués d'arbres. Sous l'impulsion de son maître, Léon HAMONET commence à exposer dans les galeries bordelaises, où il reçoit d'encourageants commentaires. Dans un article de ''La Vie bordelaise'' du début des années 1900, Maurice DESBANS le qualifie même de ''maître de demain''.
Ainsi, jusqu'au début des années 1910, Léon HAMONET se partage entre la maison familiale d'Erquy l'été, et Bordeaux, puis Dinan, l'hiver. Entouré des siens, il va continuer de travailler son art, toujours complice de sa soeur Elise. Leurs liens seront d'autant plus forts que la jeune femme, récemment mariée à Auguste LHEVEDER, notaire à Lamballe, se retrouve brutalement veuve alors qu'elle vient de mettre au monde une petite Yvette. De nombreux croquis esquisseront les joues rondes de l'enfant. Une petite huile la montre assise par terre, jouant avec des chatons. Peut-être est-ce elle qui, un peu plus tard, sortant de l'école de Dinan, sera peinte par son oncle depuis sa chambre-atelier en un point de vue original dans les rues enneigées de la cité bretonne.
C'est tout naturellement que Léon HAMONET va familiariser la petite fille aux couleurs et aux pinceaux, influençant certainement celle qui, plus tard, deviendra peintre à son tour. Comme son oncle, en effet, Yvette LHERITIER peindra sa vie durant les nombreux paysages que la carrière de son mari l'inviteront à observer - le Périgord, la Tunisie, Madagascar ... Autant de luxuriances qu'Yvette LHERITIER traitera en de larges et vigoureuses touches portées par une palette de couleurs vives et chatoyantes.
Léon HAMONET continue d'exposer dans différentes galeries de Bordeaux, puis de Dinan, du Havre, de Saint-Brieuc, de Rennes ou de Nantes. Il semblerait bien que ce soit durant son séjour à Dinan que Léon HAMONET ait affirmé son talent d'aquarelliste. S'il étudia bien-sûr cette pratique durant ses études, il semble bien, en effet, que ce soit au début de ces années 1910 qu'il privilégia avec de plus en plus de réussite cette captation des nuances colorées des paysages si changeants de la Bretagne. En mai 1910, en effet, le journaliste de ''L'Eclaireur dinnanais'' écrivait ceci : ''(...) Dans les aquarelles, un début sans doute, les tons bien posés, de teintes justes, il manquait un peu de souplesse et de légèreté. Mais rapidement tout s'affina, prit plus de forme, plus de réalité, les progrès étaient sensibles, rapides (...)''. En juin 1911, la même source commente la nouvelle exposition en ces termes : ''(...) Il a exposé chez Mr FOUGERAY, rue Thiers, une série d'aquarelles qui témoignent éloquemment de progrès considérables (...)''. Un peu plus tard, le journaliste de ''L'Eclaireur Dinnanais'' confirme que ''(...) les progrès de M. HAMONET comme aquarelliste ont été surprenants et il se classe rapidement parmi les plus renommés du genre (...)''.
Après avoir épousé Anna LHEVEDER, fille d’un notaire du pays de Lannion, le couple se fixera définitivement à la Ville-Bourse. Deux enfants naîtront de leur union : Henry, né en 1911, et Susanne, née en 1913.
''Le Sorcier de la côte d'Améthyste''
Si Léon HAMONET a son permis de conduire, jamais, cependant, il n'aura de véhicule. C'est donc à pieds ou en bicyclette que le peintre cheminera inlassablement le long de cette côte qu'il connaît depuis l'enfance et aime avec la passion des marins demeurés à terre - il aura d'ailleurs plusieurs petits bateaux avec lesquels il pêchera le maquereau. Ainsi, pendant plus de quarante années, Léon HAMONET va marquer de sa longue et fine silhouette les Réginéens, accompagné de son chevalet et de sa palette, la tête parfois couverte d'un panama, le mégot souvent éteint au coin des lèvres, et l'oeil musardant afin d'arrêter le point de vue, d'esquisser la silhouette en mouvement et de capter la juste tonnalité. Alliant précision des détails et justesse des proportions, la qualité du trait de Léon HAMONET, entretenue depuis plus de trente ans, s'efface peu à peu afin de servir les coloris que l'artiste aspire à coucher sur les supports. Du Cap Fréhel à Val-André, des Sables d’or à Dahouët, Léon HAMONET s'ingénie à retenir les couleurs de cette remarquable côte où les verts sombres des landes côtoient les bleus intenses des ciels, où les mouvements de la mer reflètent les ciels nuageux, où les troncs de pins noueux parfois rosés se découpent sur des fonds lointains. Presque toujours, il place un mouvement de vie au travers d'une silhouette un peu courbée, d'une voile gonflée de vent, d'une mouette au vol léger.
Personnalité enjouée, ne rechignant pas à se costumer ou à se mettre en scène dans des petits tableaux fantaisistes, le peintre conservera de sa nature optimiste cette vision claire et heureuse de la côte bretonne. Contrairement aux images encore parfois attendues alors d'une Bretagne arrièrée et cernée de conservatisme, Léon HAMONET, à sa manière toute discrète, va participer à l'ouverture de la Bretagne au tourisme naissant. Dans un article de ''La Bretagne touristique'' daté de 1928, en effet, Léon HAMONET est associé aux artistes réunis par Octave-Louis AUBERT au moment de l'inauguration de la nouvelle Maison de la Bretagne touristique, ''Ti-Breiz'', sise à Saint-Brieuc. Si l'artiste n'aspire nullement à révolutionner la peinture et n'appartient à aucun groupe, en effet, il s'incrit pourtant dans une dynamique destinée à offrir de la Bretagne un visage dénué de tout exotisme, mouvement d'ouverture au tourisme déjà favorisé par les voies de chemins de fer des compagnies privées qui sera forcément stimulé aux heures du Front populaire.
Les journaux de l'époque, peut-être parfois soucieux de sensationnalisme, tenteront de tracer le portrait d'un ''humble ermite'', ''coeur excellent'' reclus dans ''son modeste atelier'', ''aquarelliste distingué'', ''d'aspect très réservé, distant même parfois'' ( ''Ouest-Eclair'', ''Le Petit Parisien'' ). Si les contemporains de Léon HAMONET évoquent effectivement cette discrétion, ils insistent davantage sur son attitude ouverte et attentive aux promeneurs, n'hésitant pas à répondre aux demandes de conseils. Par contre, il est certainement juste de dire que Léon HAMONET ne chercha pas la reconnaissance. Homme de talent aimant peindre, il oeuvra toute sa vie à consacrer les beautés de la nature sur des toiles qu'il vendait lors des visites amicales dans son atelier d'amateurs désireux d'emporter avec eux un peu de cette côte, charmante et si belle. Mais, ''redoutant les coups de clairon'', il assurera la vente de ses toiles avec la modestie et l'humilité d'un artisan. Dans un article fort élogieux de ''La Bretagne touristique'', la romancière et poétesse Marie-Paule SALONNE lui reproche d'ailleurs sans détour ''de s'emmurer dans le silence'', considérant comme ''une grande faute'' cette discrétion alors qu'elle compare l'artiste à un ''sorcier'' capable de garder ''la source des émotions exquises et des évocations pleines de lumière !''
''(...) C'est là, dans son petit atelier (...), que toutes les splendeurs des paysages environnants sont fixés sur les murailles, par sa magique volonté ... L'harmonie troublante des jours d'hiver, l'émouvante flambée des ors d'automne, la gamme infinie des landes violemment colorées, les mille et un visages de la région sont là : souriants, renfrognés, tragiques, débonnaires, rêveurs, glorieux, sombres, indécis, magnifiques, angoissés ... Tous ces reflets de la lumière sur les choses, tous ces instants si fugitivement fragiles et que nous avions cru passés, ils sont là, en leur vérité parfaite et en leur poésie, immobilisés dans leur fuite quotidienne, par un sort mystérieux et séduisant. (...)'' Malgré cet éclairage enthousiaste, répété en 1941 par Ar Gaztenner, journaliste à ''Ouest-France'' ( ''(...) C’est une des plus belles parties de notre captivante, capricieuse, pittoresque et énigmatique Bretagne que l’on se plait à voir vibrer sous son pinceau de magicien (...)''), ''l'ennemi des éloges'' Léon HAMONET conservera vis-à-vis de sa production une retenue déjà qualifiée de ''criminelle modestie'' par SALONNE.
Peintre de la mer et de la terre
Si Léon HAMONET résida à Erquy jusqu'en 1953, il eut cependant l'occasion de passer en 1928 une année à Pau. Leur fils Henry souffrant de troubles respiratoires, en effet, le couple demeura dans cette région, offrant ainsi à l'artiste l'occasion de reproduire avec force, précision et délicatesse de nouveaux thèmes : différentes vues du Château de Pau ; les jardins, où de longues silhouettes marchent à l'ombre des arbres ; les crêtes enneigées des Pyrénées.
Au début des années 1930, le mariage de leur fille Suzanne avec Edouard DESHAYES, médecin à Mûr-de-Bretagne, lui permettra à nouveau de diversifier ses sujets et de s'intéresser à la Bretagne intérieure : le lac de Guerlédan, la chapelle et la fontaine Sainte-Suzanne, les champs aux broussailleuses bottes de foin, les gibiers par son gendre chassés.
Si Léon HAMONET est l'auteur de plusieurs autoportraits,  il aura eu très tôt l'occasion de reproduire à l'huile, au pastel, au fusain ou à l'aquarelle, certains membres de sa famille offerts à son attention : son père Henri ; sa mère Elise et sa tante Marie ( peut-être inspirée du célèbre tableau de WHISTLER ) : deux remarquables huiles aux accents réalistes et lumineux ; Henry et Suzanne, visages confiants de ses enfants abandonnés dans le sommeil ; ses premiers petits-enfants, Georges, Suzanne et Claude. Curieusement, on ne connaît aucune reproduction de son épouse Anna. Il acceptera des commandes de portraits de la part de quelques familles amies ou de passage à son l’atelier.
En février 1953, amaigri et éprouvé par une chute dans la maison familiale, Léon HAMONET s'éteint à l’âge de 76 ans, à Rennes, auprès de son fils Henri, lui murmurant : ''les mouettes ...! les mouettes ...!''
Léon HAMONET est enterré au cimetière marin d’Erquy.
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                                   http://www.leonhamonet.fr/
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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 14:53

 

 

Léon Jamin est né à Liege en Belgique le 22 Novembre 1872, y est mort le 22novembre 1944 . Sixième enfant d'une fratrie de 14, fils d'Ernest Joseph Jamin et de Antoinette Henriette Frison.

 

C'est un peintre post-impressionniste des paysages de la Campine et de l'Ardenne. Élève à l'Académie de Liège (Evariste Carpentier, Adrien de Witte), il a travaillé au côté de Carpentier en Campine. Voyage en Espagne et en Provence.

Il participe souvent dans les années 1920 et 1930 à des expositions à Bruxelles et Liège.

 

Ses œuvres sont exposées principalement au musée de l'art Wallon à Liège.

 

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 14:40

bonjour les z'amis , unpetit coucou  de Maune et de moi !!!!

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 20:23

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 16:29
Journée internationale des DROITS de la femme

 


 

 

La journée internationale de la femme, ou journée internationale des droits des femmes, est célébrée le 8 MARS . Elle trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle en Europe et aux Etats-Unis, réclamant l'égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote. Elle a été officialisée par les Nations unies en 1977, invitant chaque pays de la planète à célébrer une journée pour le feminismes et les droits de la femmes .

La journée de la femme fait partie des 87 journées internationales initiées ou reconnues par l'ONU. C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de revendiquer l'égalité et de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société. Traditionnellement les groupes et associations de femmes militantes préparent des manifestations partout dans le monde, pour faire aboutir leurs revendications, améliorer la condition féminine, fêter les victoires et les avancées.

 

Donc une manifestation plus qu'une fête !!! A ne pas prendre à la légere( comme certains le font) car des millions de femmes  se battent encore pour le respect  les droits qui leur sont dûs .

 

 

 

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 19:37

L'homme n'a pas d'amis , c'est son bonheur qui en a....

 

napoléon bonapartecanis

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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 02:18

"Poète et écrivain. Auteur populaire de couplets qui ont contribué à créer un genre trés influencé parles particularites andalouses."

 

Rafael de León y Arias de Saavedra, connu aussi comme maître León, comte de Gómara, marquis del Moscoso et marquis del Valle de la Reina. Né à Séville en février 1908, il fait partie du célèbre trio Quintero, León, Quiroga qui contribua si richement à la chanson de l’après-guerre espagnole, et dont les interprètes par excellence furent Carmen Sevilla et Concha Piquer. Il collabore aussi aux scénarios d’un cinéma imprégné de la valorisation de « l’espagnolisme ». Vers la fin de sa carrière, il écrit pour les chanteurs Nino Bravo, Raphael, Rocío Dúrcal, Rocío Jurado et Isabel Pantoja, entre autres. Il meurt à Madrid le 9 décembre 1982.


 

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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 01:28

 

                Léon Cogniet self-portrait 1818

 

Léon Cogniet entre en 1812 à l'Ecole des beaux- arts de Paris, où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guerin aux côtés de Delacroix et Gericaultt. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé (musée de Fécamp), son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le Prix de Rome en 1817et il fait la même année ses débuts au Salon. Il est pensionnaire de l'Académie de France à Rome de 1817 à 1822.

En 1827, il réalise une série de peintures sur la vie de Saint - Etienne pour l'église Saint-Nicolas-des Champs de Paris, puis il peint L’Expédition d’Égypte sous les ordres de Bonapartesur l'un des plafonds du musée du Louvrre en 1833-1835. Son plus grand succès lui vient en 1843 avec Le Tintoret peignant sa fille morte, après quoi il se consacre principalement aux portraits et à l'enseignement. Il est professeur de dessin au Lycée Louis le Grand et à l'école Polythechnique et il enseigne la peinture à l'école des Beaux-Arts à plusieurs générations d'artistes.

Il meurt dans le 10e arrondissement de Paris le 20 Novembre 1880 et est inhumé au cimetiere du Père Lachaise (division 15).

 

Mouvement  artitistique:

Neoclassique 

 

 

Léon Cognier a eu entre autres pour élèves:

 

Léon Désiré Alexandre  (1817 / 1886) et Léon Bonnat  (1833 / 1922)

 

 

ses oeuvres :

  • Œnone refusant de secourir Pâris blessé, (1816), musée de Fécamp.
  • L'Artiste dans son studio à la Villa Medicis de Rome, (1817), Cleveland Museum of art
  • Scène du Massacre des Innocents, (1824), musée des Beaux-Arts de Rennes
  • Marius sur les ruines de Carthage, (1824), musée des Augustins à Tououse
  • Femme du pays des Esquimeaux, (1826), Cleveland Museum of art
  • L’Expédition d’Égypte sous les ordres de Bonaparte, (1833-1835), plafond au musée du louvrej
  • jean-François Champollion, (1831), musée du Louvre.
  • La Garde nationale de Paris part pour l’armée, septembre 1792, (1836), musée du Château de Versaille
  • Le Tintoret peignant sa fille morte, (1843), musée des Beaux-Arts de Bordeaux
  • Portrait de Maria Brignole-Sale De Ferrari, (1856), Palazzo Rosso, Gênes

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scêne de juillet 1830? dites aussi  " Les drapeaux " 

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Présentation

  • : Le blog de Maune
  • : Léon, croisé Golden et Beauceron, raconte son arrivée chez sa nouvelle maîtresse, Maune, avec les doigts de celle ci. Il ajoute sur ce blog tout ce que Maune trouve sur les Léon ainsi que ses coups de coeur. A partir de la page 19, Maune et Léon consacrent certain de leurs articles aux activités professionnelles ou ludiques, canines et humaines.
  • Contact

Maune & Léon

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léon maun

Texte Libre

   le loup et le chien



Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

Les Fables, Livre Iby Emlyn

Texte Libre

Au fond du vieux refuge
Dans une niche en bois
Depuis deux ans je purge
D'avoir trop cru en toi
Tous les jours je t'attends
Certain que tu viendras
Tous les soirs je m'endors
Sans que tu sois là.
Que c'est-il donc passé
Pour que ce 16 juin
Heureux que tu étais
Je me rappelle bien
Tu sifflais, tu chantais
En bouclant les valises
Que tu m'aies attaché
Là devant cette église
Ton absence me pèse
Et les jours sont si longs.
Mon corps s'épuise
Et mon coeur se morfond
Je n'ai plus le goût à rien

Et je deviens si laid
Que personne jamais
Ne voudra m'adopter.
Tu m'as mis à la chaîne
Ou tu m'as enfermé
Tu m'as laissé des jours
Sans boire et sans manger
J'ai dormi bien souvent
Dans ma niche sans toi
Paralysé, raidi
Tellement j'avais froid.
Pourtant si tu reviens
Nous partirons ensemble
Nous franchirons en choeur
La porte qui ressemble
À celle d'une prison
Et que je ne veux plus voir
Et dans laquelle hélas!
J'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine
Car je vois le gardien

Et le vétérinaire au loin
Ils entrent dans l'enclos
Et leurs visages blêmes
En disent long pour nous
Sur ce qu'ils nous amènent
Je suis heureux tu vois
Car dans quelques instants
Je vais tout oublier
Et comme il y a deux ans
Je m'endormirai sur toi
Mon seul et grand ami
Je dormirai toujours
Grâce à l'euthanasie.
À vous tous les humains
J'adresse une prière
Me tuer tout petit
Aurait peiné ma mère
Mais il eût mieux valu
Pour moi cette manière.
Et vous n'auriez pas eu
Aujourd'hui à le faire.
Texte de Monsieur :  DUMAS Gilbert

Texte Libre

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Texte Libre

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priere

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              L'homme est un loup pour l'homme...............

 

                         .............. et un gros con pour le Loup....

 

 

 

 

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Un enfant seul

Tout seul avec en main

Une belle tranche de pain,

Un enfant seul

Avec un chien

Qui le regarde comme un dieu

Qui tiendrait dans sa main

La clé du paradis des chiens.

Un enfant seul

Qui mord dans sa tranche de pain,

Et que le monde entier

Observe pour le voir donner

Avec simplicité,

Alors qu'il a très faim,

la moitié de son pain

Bien beurré à son chien.

 

 

Maurice Carême

 

 

 

 

 

 

 

La mort du loup

I

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

II

J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "

 

Alfred de Vigny (1797- 1863)