coucou les z'amis! Maune fait mumuse ! haaaaaaaaaa......... les deux pattes........dos coincé peut pas me promener......pfffit !
coucou les z'amis! Maune fait mumuse ! haaaaaaaaaa......... les deux pattes........dos coincé peut pas me promener......pfffit !
Fils du poète Antoine Gérin-Lajoie,et premier sociologue québecois , il étudie au séminaire de Quebec, puis fait son droit à l'Université Laval. Séjournant à Paris, il découvre sa vocation sociologique en 1886.
D'abord sténographe judiciaire, il devient secrétaire personnel du ministre Auguste-Réal Angers. À partir de 1903, il traduit les débats de la Chambre descommunes du Canada.
Le prix Léon-Gérin et la médaille Innis-Gérin sont nommés en son honneur.
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_G%C3%A9rin
Sociologue avant la lettre, Léon Gérin a tracé en solitaire la voie de la sociologie canadienne. Tout au long de sa vie il s'est intéressé, souvent par le biais de l'histoire, aux conditions de vie de la société canadienne-française.
Vie et oeuvre
La vie de Léon Gérin correspondit fidèlement à un dessein qu'il en esquissa à son retour de Paris: choisir un mode d'existence comportant suffisamment de loisirs pour lui permettre de s'adonner à sa passion intellectuelle, les études sociales. Sa vie fut littéralement un diptyque. Professionnellement, il redevient d'abord sténographe judiciaire à Montréal. À partir de 1892, il
habitera Ottawa comme fonctionnaire fédéral: secrétaire du ministre de l'Agriculture, l'honorable A.R. Angers; ensuite secrétaire du ministre de la Milice, l'honorable A. Desjardins en 1895; puis, après la défaite du gouvernement conservateur en 1896, secrétaire du professeur J.W. Robertson, commissaire de l'Agriculture; enfin, à partir de 1903, traducteur des débats à la Chambre des communes. Il est nommé chef de service en 1917 et il remplira ce poste jusqu'à sa retraite, en 1936. En 1904, il a épousé une Québécoise, Adrienne Walker, de qui il eut quatre enfants, un fils et trois filles.
http://classiques.uqac.ca/classiques/Gerin_leon/Gerin_leon_photo/Gerin_leon_photo.html
Léon Jamin est né à Liege en Belgique le 22 Novembre 1872, y est mort le 22novembre 1944 . Sixième enfant d'une fratrie de 14, fils d'Ernest Joseph Jamin et de Antoinette Henriette Frison.
C'est un peintre post-impressionniste des paysages de la Campine et de l'Ardenne. Élève à l'Académie de Liège (Evariste Carpentier, Adrien de Witte), il a travaillé au côté de Carpentier en Campine. Voyage en Espagne et en Provence.
Il participe souvent dans les années 1920 et 1930 à des expositions à Bruxelles et Liège.
Ses œuvres sont exposées principalement au musée de l'art Wallon à Liège.
bonjour les z'amis , unpetit coucou de Maune et de moi !!!!
La journée internationale de la femme, ou journée internationale des droits des femmes, est célébrée le 8 MARS . Elle trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle en Europe et aux Etats-Unis, réclamant l'égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote. Elle a été officialisée par les Nations unies en 1977, invitant chaque pays de la planète à célébrer une journée pour le feminismes et les droits de la femmes .
La journée de la femme fait partie des 87 journées internationales initiées ou reconnues par l'ONU. C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de revendiquer l'égalité et de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société. Traditionnellement les groupes et associations de femmes militantes préparent des manifestations partout dans le monde, pour faire aboutir leurs revendications, améliorer la condition féminine, fêter les victoires et les avancées.
Donc une manifestation plus qu'une fête !!! A ne pas prendre à la légere( comme certains le font) car des millions de femmes se battent encore pour le respect les droits qui leur sont dûs .
L'homme n'a pas d'amis , c'est son bonheur qui en a....
napoléon bonaparte
"Poète et écrivain. Auteur populaire de couplets qui ont contribué à créer un genre trés influencé parles particularites andalouses."
Rafael de León y Arias de Saavedra, connu aussi comme maître León, comte de Gómara, marquis del Moscoso et marquis del Valle de la Reina. Né à Séville en février 1908, il fait partie du célèbre trio Quintero, León, Quiroga qui contribua si richement à la chanson de l’après-guerre espagnole, et dont les interprètes par excellence furent Carmen Sevilla et Concha Piquer. Il collabore aussi aux scénarios d’un cinéma imprégné de la valorisation de « l’espagnolisme ». Vers la fin de sa carrière, il écrit pour les chanteurs Nino Bravo, Raphael, Rocío Dúrcal, Rocío Jurado et Isabel Pantoja, entre autres. Il meurt à Madrid le 9 décembre 1982.
Léon Cogniet entre en 1812 à l'Ecole des beaux- arts de Paris, où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guerin aux côtés de Delacroix et Gericaultt. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé (musée de Fécamp), son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le Prix de Rome en 1817et il fait la même année ses débuts au Salon. Il est pensionnaire de l'Académie de France à Rome de 1817 à 1822.
En 1827, il réalise une série de peintures sur la vie de Saint - Etienne pour l'église Saint-Nicolas-des Champs de Paris, puis il peint L’Expédition d’Égypte sous les ordres de Bonapartesur l'un des plafonds du musée du Louvrre en 1833-1835. Son plus grand succès lui vient en 1843 avec Le Tintoret peignant sa fille morte, après quoi il se consacre principalement aux portraits et à l'enseignement. Il est professeur de dessin au Lycée Louis le Grand et à l'école Polythechnique et il enseigne la peinture à l'école des Beaux-Arts à plusieurs générations d'artistes.
Il meurt dans le 10e arrondissement de Paris le 20 Novembre 1880 et est inhumé au cimetiere du Père Lachaise (division 15).
Mouvement artitistique:
Neoclassique
Léon Cognier a eu entre autres pour élèves:
Léon Désiré Alexandre (1817 / 1886) et Léon Bonnat (1833 / 1922)
ses oeuvres :
scêne de juillet 1830? dites aussi " Les drapeaux "
le loup et le chien
L'homme est un loup pour l'homme...............
.............. et un gros con pour le Loup....
Un enfant seul
Tout seul avec en main
Une belle tranche de pain,
Un enfant seul
Avec un chien
Qui le regarde comme un dieu
Qui tiendrait dans sa main
La clé du paradis des chiens.
Un enfant seul
Qui mord dans sa tranche de pain,
Et que le monde entier
Observe pour le voir donner
Avec simplicité,
Alors qu'il a très faim,
la moitié de son pain
Bien beurré à son chien.
Maurice Carême
I
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
II
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.
Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "
Alfred de Vigny (1797- 1863)