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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 18:54

 

 

 

 

 

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Salut les copains 4 pattes !!! j'ai pris la place de Maune un moment , elle ronffle.... chut.. dites  rien aux 2 pattes sinon elle va pas être contente !!!

j'ai trouvé un bouquin vers elle qui parle del'arthrose... brrrrrrrr vais vous dire.......... montrez le  à vos deux pattes , ça peut servir !!!! elle avait qu'à pas laisser trainer.....

 

 

 

DEPISTAGE DE L'ARTHROSE

 

Les signes de l'arthrose sont peu visibles.En effet, les chiens n'expriment pas la douleur de la même maniere que nous!  ( héhé sont cons ces deux pattes !c sûr, nous on se plaint en silence.... bande de douillets!) Divers changements de comportement doivent vous alerter:

 

PIN POM PINPOM IL DEVIENT TOUT PÄLE !!!!!!!!!!   non, suis couillon.... c pas comme les deux pattes  quoi que  y en a aussi  qui sont poilus tout partout........... hihi

 

 

  1.  Il a du mal à se retourner....         hoooo  
  2.  Il boite
  3.  Il a moins d'entrain pendant  les promenades                 
  4.  Il a du mal à monter ou descendre les escaliers   
  5.  Il vous fait moins la fête quand vous rentrez
  6.  Il reste couché plus souvent qu'avant             
  7.  Il grogne quand vous le caressez          
  8.  Il a des raideurs apres l'effort...    


    Il dit aussi le bouquin  que si votre 2 pattes cochent au moins 2 réponses, qu'il faut en parler au véto !!

ouille !!!

 

moi, je m'inquietes serieux....Maune a plusieurs symptômes et en plus elle grogne........... mais bon , elle m'a ramené de chez le boucher trois bons gros nonos...huuuuuuuum miam  !   .. oups!!    je file voilà Maune qui arrive avec son air des jours sans fêtes  !!!ciao les potos !!!!!!

 

 

je vous laisse un lien ca peu servir mais allez voir  sur d'autres sites  aussi  ----------->  link

 

hé hé  les filles ... hein suis beau quand  j'arrive vous faire la fête........


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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 18:07

 


 
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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 13:31

 


 
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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 19:03

 

 

 

Ludwig Aloisius Minkus, dit Léon Minkus ( 23 mars 1826 - 7 décembre 1917), est un compositeur autrichien de musique de ballet, un violoniste virtuose et un professeur de violon.

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Minkus est surtout connu pour les partitions qu'il a composées en tant que « compositeur de ballets des Théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg », pour lesquels il écrivit des œuvres originales et des reprises à l'intention des maîtres de ballet Marius Petipa et Arthur Saint-Léon. Ses compositions les plus célèbres sont La Source (avec Léo Delibes, 1866), Don Quichotte (1869) et La Bayadère (1877). Il a également écrit des passages destinés à être insérés dans des ballets existants. Parmi ceux-ci le Grand pas classique, le Pas de trois et la Mazurka des enfants, écrits pour la reprise par Petipa, en 1881, du ballet Paquita.

De nos jours, la musique de ballet de Minkus est une des plus connues et elle est interprétée par toutes les compagnies de ballet. Elle fait également partie intégrante du répertoire du ballet classique traditionnel.

 

Léon Minkus, de son patronyme complet Aloysius Bernhard Philipp Minkus, est né le 23 mars 1826 à Innere Stadt (Vienne), un arrondissement de Vienne..../...

Le père de Minkus est un grossiste en vins pour la Moravie, l'Autriche et la Hongrie. Il ouvre un restaurant, animé par son propre orchestre, dans l'arrondissement d'Innere Stadt. Ce fait pourrait avoir influencé le jeune Minkus - il est possible qu'il ait composé Tanzkapelle pour l'orchestre de son père, une des nombreuses formations de la capitale impériale. Il s'initie au violon vers l'âge de quatre ans et commence des études musicales à la Gesellschaft der Musikfreunde de Vienne.

Le violoniste fait ses débuts devant le public viennois à l'âge de huit ans. Le 18 octobre 1845, une publicité concernant les représentations de la saison précédente et parue dans le journal viennois Der Humorist, définit ainsi le jeu caractéristique de Minkus : « un style classique doublé d'une exécution brillante ». Le jeune Minkus se produit bientôt dans des salles de concert en soliste. Il est qualifié d'enfant prodige à la fois par le public et par les critiques.

Minkus commence à composer pour le violon alors qu'il est toujours étudiant. Cinq pièces pour cet instrument sont publiées en 1846. Minkus s'essaye à la direction d'orchestre dès cette époque. Il est le chef en titre d'un orchestre qu'il complète en lui incorporant celui dirigé par le jeune Johann Strauss II (des années plus tard, Strauss fera la connaissance d'Eugen Minkus, directeur d'une banque viennoise et frère de Ludwig).

....../......

 

En 1853, Minkus émigre à Saint-Pétersbourg comme chef de l'orchestre du prince Nikolaï Youssoupoff, poste que Minkus occupe jusqu'en 1855.

De 1858 à 1861, Minkus est premier violon au théâtre impérial Bolchoï de Moscou. Il se voit rapidement confier le poste de chef d'orchestre et premier violon de l'Opéra impérial italien de Saint-Pétersbourg. En 1861 Minkus est maître des concerts au théâtre Bolchoï puis Inspecteur des Orchestres des Théâtres impériaux à Moscou. Il enseigne conjointement le violon au tout nouveau Conservatoire de Moscou.

Minkus compose L′Union de Thétis et Pélée (qui paraît être sa première composition pour un ballet) à l'occasion d'une représentation privée au palais Ioussoupov en 1857. Au cours de son contrat avec le théâtre impérial Bolchoï Minkus a composé une autre musique pour le ballet en un Acte intitulé Deux jours à Venise et produit en 1862. Un peu plus tard au cours de la même année, il est convié à composer un Entr'acte pour le ballet Orfa monté par Arthur Saint-Léon et chorégraphié par Jean Coralli sur une musique d'Adolphe Adam. Saint-Léon était un des maîtres de ballet les plus en vue et, depuis 1860, il occupait le poste de premier maître de ballet des Théâtres impériaux à Saint-Pétersbourg, position qui l'obligeait également à monter des œuvres pour le ballet de Moscou.

 

......./.......

 

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L'écriture musicale de Minkus

Le fait que Minkus soit tombé dans l'oubli est très certainement en rapport avec la manière dont la musique de ballet est créée et appréhendée à l'époque où il est compositeur de ballets en Russie. À cette époque, là, comme ailleurs en Europe, le maître de ballet a tout pouvoir sur les partitions que lui fournit le compositeur. Les ballets du XIXe siècle sont un mariage entre la danse et le mime. La musique de ballet doit avant tout être « dansante » et avoir une mélodie légère, agréable, riche, un phrasé simple, facile à comprendre, rythmé et, enfin, apte à souligner le mouvement des danseurs. La musique accompagnant les mimes et les scènes d'action doit rendre l'atmosphère du drame. Minkus travaille sous contrat pour composer la partition à la demande. Il est contraint de fournir une musique pour ballet à chaque nouvelle saison, en plus de réviser celle qui existe déjà pour les nombreuses reprises de Petipa.

Comme beaucoup de « compositeurs spécialistes de ballets » avant lui, Minkus esquisse la plupart de ses partitions au cours des répétitions pendant que le maître de ballet chorégraphie ses danses. De même, il annote ses partitions d'instructions détaillées que lui fournit le maître de ballet. ....../.....

 

 

.

 

Une des grandes forces de Minkus est son habileté à créer une infinie variété de mélodies (élément principal de jugement au XIXe siècle). L'historien du ballet, Konstantin Skalkovsky, raconte dans son étude Dans le monde du Théâtre comment la Marche de Roxana, le ballet dont il a composé la musique en 1878, est devenue l'air favori du tsar Alexandre III qui n'aimait habituellement pas la musique. Plusieurs unités de l'armée de terre russe ont fait le siège de Plevna au son de cette marche. D'autres grandes réussites de Minkus sont les compositions pour violon solo et pour harpe écrites pour le célèbre violoniste Leopold Auer et le harpiste Albert Zabel qui sont respectivement Premier violon et harpiste de l'orchestre des Théâtres Impériaux à la fin du XIXe siècle et au début de XXe.

Les orchestrations de Minkus font appel à de nombreux instruments. Une de ses partitions utilise les cordes, la flûte, le piccolo, la clarinette, le cornet, le hautbois, le basson, le contrebasson, le trombone, le cor anglais, le cor d'harmonie, la trompette, le tuba auxquels peuvent s'ajouter la harpe, le tambour (tambour à timbre, grosse caisse), le triangle, le tambourin et le glockenspiel. Minkus fait occasionnellement appel au gong, au piano et aux castagnettes. Même avec de tels ensembles, les passages tutti restent exceptionnels. Minkus utilise quasiment toujours la même combinaison d'instrument sauf lorsqu'il faut rendre une ambiance particulière. Il ne fait appel aux cuivres que pour rendre la musique plus consistante si nécessaire. La priorité est donnée au premier violon et au flûtiste dans la plupart de ses compositions et sont souvent doublés par les seconds violons et altos. Les autres instruments favoris de Minkus sont la grosse caisse et les pizzicato pour contrebasse qu'il utilise, le plus souvent, pour marquer le tempo (c'est l'orchestration originale qu'il a adoptée pour sa partition du Royaume des Ombres dans La Bayadère de 1877). Cette façon de composer n'est nullement le témoignage d'un manque d'imagination de la part de Minkus. Il écrit ainsi pour aller plus vite étant donné qu'il a très peu de temps pour orchestrer après les décisions du maître de ballet. De plus, une structure musicale plus complexe aurait été rejetée à la fois par le maître de ballet et par les danseurs.

L'admiration que la Russie voue à Minkus pour ses capacités à composer la musique de ballet est restée vivace alors que cet engouement est d'apparition plus récente en Occident. Ceci est dû au fait que nombre de musiciens considèrent cette musique du XIXe siècle comme secondaire. Plusieurs troupes de ballet ont choisi d'interpréter la musique du compositeur sur des réorchestrations écrites par différents musiciens dont le plus connu est le compositeur et chef d'orchestre John Lanchbery. Depuis quelques années, de plus en plus de compagnies tentent de se rapprocher autant que possible de la musique originale lorsqu'elles montent des ballets et sont ainsi à l'origine d'un regain d'intérêt pour le vieux « compositeur de musique de ballets ».

En 2001, le théâtre Mariinski a mis en scène une reconstitution de La Bayadère sur la base des notations chorégraphiques de Vladimir Ivanovich Stepanov tirées de la Collection Sergeyev actuellement propriété de la Librairie de l'université Harvard. Pour cette reconstruction, le Ballet Mariinski a exhumé la partition originale manuscrite de Minkus que l'on croyait perdue depuis plusieurs années. Cette ancienne partition est saluée comme un chef-d'œuvre dans son genre et un magnifique exemple d'une longue disparition dans l'histoire du ballet.

 

               link  : <---------- pour plus  de renseignements...

 

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 15:31

Ludwig Aloisius Minkus, dit Léon Minkus ( 23mars 1826-7 décembre 1917), est un compositeur Autrichien de musique de ballet , un violoniste  virtuose et un professeur de violon.

 

Minkus est surtout connu pour les partitions qu'il a composées en tant que « compositeur de ballets des Théâtres impériaux de Saint-Petersbourg », pour lesquels il écrivit des œuvres originales et des reprises à l'intention des maître de ballet Marius Petipa et Arthur Saint-Léon. Ses compositions les plus célèbres sont La source (avec Léon delibes, 1866), Don Quichotte   (1869) et La Bayadère   (1877). Il a également écrit des passages destinés à être insérés dans des ballets existants. Parmi ceux-ci le Grand pas classique, le Pas de trois et la Mazurka des enfants, écrits pour la reprise par Petipa, en 1881, du ballet Paquita.

De nos jours, la musique de ballet de Minkus est une des plus connues et elle est interprétée par toutes les compagnies de ballet. Elle fait également partie intégrante du répertoire du ballet classique traditionnel.

 

link wikipedia

 

 


 

 

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 14:49

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 Léon Denis (né à Fouq , le 1 janvier 1846 , décédé à Tours , le 12 Mars 1927 ) fut un philosophe spirite et, aux côtés de Gabriel Delanne et Camille Flammarion , un des principaux continuateurs du spiritismie après le décès d' Allan Kardec. Il fit des conférences à travers toute l'Europe dans des congrès internationaux spirites  et spiritualistes , défendant activement l'idée de la survie de l'âme  et ses conséquences dans le domaine de l'éthique dans les relations humaines

 

Ayant été obligé d'abandonner ses études pour travailler, il ne cessa pas pour autant de lire et, dès l'âge de 18 ans, son contact avec Le livre des Esprits, fit de lui un adepte convaincu du spiritisme. Il avait vingt-trois ans lors de la « désincarnation » du maître Allan Kardec dont il aurait reçu les inspirations. Pendant la guerre de 1870  il servit comme sous-lieutenant et, quand il était à l'arrière du front, il organisait des séances de spiritisme à l'intention de quelques camarades. Après la guerre il devint représentant de commerce et voyagea dans de nombreux pays.

Il joua un rôle important dans la diffusion du spiritisme, affrontant les partisans des philosophies opposées comme le materialisme, l'athéisme et certaines réactions hostiles des religions. Il fut, affirme-t-on, soutenu dans sa lutte par Jérome de Prague et celui qu'on appelle « l'Esprit bleu ».

Autodidacte, doté d'une rare intelligence, Denis écrivit des textes d'une profondeur remarquable, qui montrent une perspicacité peu commune. Il fut, par ailleurs, un membre actif de la franc-maçonnerie .

À partir de 1910 sa vue ne cessa de baisser, ce qui ne l'empêcha pas de continuer à travailler à défendre l'existence et la survie de  l'âme. Peu après la Premiere Guerre mondiale , il apprit le braille.

L'abondance de sa production dans la littérature spirite, ainsi que l'affabilité de son caractère et son dévouement, lui ont valu le surnom d'« Apôtre du Spiritisme ».

 

  • 1880 : Tunis et l'Île de Sardaigne (brochure)
  • 1880 : Le Médecin de Catane (nouvelle)
  • 1880 : Giovanna (nouvelle)
  • 1885 : Le Pourquoi de la Vie
  • 1889 : Après la Mort (dernière édition revue et corrigée : 1920)
  • 1898 : Christianisme et Spiritisme (dernière édition revue et corrigée : 1920)
  • 1901 : L'Au-delà et la Survivance de l'Être (brochure)
  • 1903 : Dans l'Invisible (dernière édition revue et corrigée : 1924)
  • 1905 : Le Problème de l'Être et de la Destinée (dernière édition revue et corrigée : 1922)
  • 1910 : Jeanne d'Arc Médium (dernière édition revue et corrigée : 1926)
  • 1911 : La Grande Énigme (dernière édition revue et corrigée : 1921)
  • 1919 : Le Monde Invisible et la Guerre
  • 1921 : Esprits et Médiums (brochure)
  • 1921 : Synthèse doctrinale et pratique du Spiritualisme
  • 1921 : Le Spiritualisme et le Clergé Catholique
  • 1924 : « Socialisme et Spiritisme » (article de La Revue spirite)
  • 1924 : Jaurès Spiritualiste
  • 1924 : La Question Celtique et le Spiritisme
  • 1927 : Le Génie Celtique et le Monde Invisible

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 14:34

 

 

 

Joseph Léon Jacquemaire  pharmacien et inventeur de la BLEDINE,

 

est né le 3 février 1850 à Moineville en Meurthe et Moselle (54) et décède le 31 juillet 1907 à Evian  (74)  Haute-savoie.

 

Pharmacien  installé à Villefranche sur saone, il fonde avec  Maurice  Miguet lelaboratoire  Jacquemaire en 1881.

 

 

Né d’un père instituteur, il passe son enfance dans le Jura où son père est devenu professeur à l’Ecole Normale.

Après son baccalauréat, il devient préparateur à Lille mais la guerre de 1870 l’oblige à devenir laborantin sous les ordres du Dr Robin. Les deux hommes s’apprécient au point qu’à la fin de la guerre, le Dr Robin demande à Léon de devenir son préparateur à la Faculté de Médecine et de Pharmacie à l’Hôpital de la Charité à Lyon. Jacquemaire devient aussi professeur de chimie à l’Université de la ville, puis il remplace le Dr Robin, de 1877 à 1884, en tant que chef des travaux chimiques.

En août 1880, il obtient le diplôme de pharmacien 1ère classe, avec la mention Bien. Léon s’installe l’année suivante à Villefranche-sur-Saône.

Dès lors, il s’associe à un autre pharmacien de la place, Maurice Miguet, et fonde le laboratoire Jacquemaire. Leurs recherches communes aboutissent à l’invention de la Blédine qui va connaître un extraordinaire développement.


Publicité de 1910

 

Inventée comme remède contre l’anémie et l’intolérance au lait,
la Blédine va connaître un succès formidable

C’est l’étude sur le grain de blé qui met les deux pharmaciens sur la voie d’un produit pour alimenter les nouveau-nés ne supportant pas le lait. Grâce à leurs recherches, est mise au point une poudre fine fabriquée par tamisages successifs de farine de blé, complétée par addition de germes et transformée par un procédé thermique spécial, pour conserver intactes ce qu’on nommera plus tard : les vitamines.

Ainsi, dès 1881, le laboratoire Jacquemaire élabore des produits alimentaires fortifiants, (Carnine, Blédine…) précurseurs de la diététique moderne. Il produit aussi des phosphates et par la suite des glycérophosphates déclinés dans divers autres produits.

Le produit commercialisé en 1906 sous le nom  Blédine  rencontre un succès immédiat car il répond aux vœux du corps médical. D’ailleurs, dans les archives du laboratoire Jacquemaire sont conservées les nombreuses lettres de remerciements de médecins de l’époque disant que leur Blédine a sauvé des nouveau-nés ne supportant pas le lait. En effet, préparée à l’eau, elle convient idéalement à ces nourrissons. Cela explique des guérisons, que certains praticiens nomment résurrections !

Une telle reconnaissance inspire probablement la première publicité sortie vers 1920 :

Blédine Jacquemaire la seconde maman

 

Son odeur biscuitée en fait une gourmandise
appréciée de génération en génération par petits et grands

Quand Léon Jacquemaire décède en 1907, sa célèbre bouillie n’est encore qu’une promesse, et il n’imagine pas que sa « potion magique » puisse ravir des générations entières jusqu’au 21e siècle. 

La santé de l'enfant, son développement physique et intellectuel dépendent, pour une part importante, de l'alimentation des premiers mois de la vie. Telle est la conviction de Léon Jacquemaire, en un temps où la mortalité infantile est importante et où le lait constitue l’aliment exclusif du nourrisson.

Peu avant son décès, Léon Jacquemaire nomme Maurice Miguet, son associé, au poste de directeur, qui conserve à l’établissement le nom de son fondateur et lance une production à grande échelle.

La Blédine est d’abord produite en version à cuire, à la texture veloutée, parfumée au cacao, à la vanille puis à d’autres saveurs. Dans les années soixante, elle est conçue en présentation instantanée.

Aujourd’hui Blédine, rattachée au groupe Danone depuis 1997, occupe 70 % des parts de marché des céréales instantanées.

 

 

 

 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 19:50

 


 
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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 19:28

 


 

 

LEON (soul) + Guest + after show GUS66 (mix jazz funk soul)

Il y a des artistes surgis de nulle part qui ont la capacité de captiver l’auditeur dès la première écoute, presque par surprise. Léon fait partie de ceux-là. Dès son plus jeune âge, à Kinshasa, Léon utilise la musique pour chasser le blues. Et la soul américaine est son genre de prédilection, via la collection de disques de son père qui écoute religieusement tous les dimanches Marvin Gaye, Barry White, Bobby Womack, Al Green, bref le meilleur de la soul seventies. Mais aussi le jazz avec Nat King Cole, Maceo Parker ou Louis Amstrong. Une éducation musicale de choix.

Quand la famille de Léon débarque en France en 1989, elle atterrit à Toulouse. Léon multiplie les petits groupes, les expériences, les rencontres. Il cherche sa voie. Ce sera d’abord le r&b, ou plus précisément la new jack, cette version dynamique du rhythm & blues qui le fascine. En 2008, une rencontre fortuite avec un vieil ami, Jao, musicien et ingénieur du son, va donner à Léon l’envie de retourner dans l’arène. Il a envie de travailler sur de la soul, il lui faut un chanteur. Certains appellent ça le destin.

 

 

La majorité des morceaux sont en anglais, la langue de la soul music. Léon sait qu’il doit enregistrer un vrai album à partir de ces maquettes. Quoi qu’il lui en coûte. Sa passion est à ce prix. Il va finaliser ses compositions à Polygone, le meilleur studio toulousain, et dans un autre studio rempli de vieilles machines, « pour que ça sonne à l’ancienne ».Et c’est la rencontre avec Philippe Scemama (Pompon), un bassiste qui a réalisé l’album de Laure Milan. Il amène avec lui une équipe de jeunes musiciens déterminés. Le son est live, souvent enregistré en une prise. La thématique qui émerge est bien évidemment l’amour, avec une touche de nostalgie vu que Léon sort d’une séparation douloureuse. Le résultat ? Treize titres passionnés et originaux ainsi qu’une reprise «Michelle» que Léon attend impatiemment de faire découvrir sur scène, l’endroit où, de son propre aveu, il se sent le mieux.

Entre Barry White et James Brown, voici donc Léon. Un soulman moderne avec ses héros et ses modèles. Mais surtout, avec son propre style.

Olivier Cachin

 

connexion-cafe.com

 


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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 15:30

                ct_tigre.gif

« Les careses n'ont jamais transformé un tigre en chaton. »

 

« Ce qui est difficile quand on chevauche  un tigre, c'est d'en descendre. »
proverbe chinois

 

 

« Le sage ne tire pas la queue du tigre, même lorsqu'il dort ! »2181611tigre.jpg
de Charles Pasqua
« Dieu a inventé  le chat pour que l'homme ait  un tigre à caresser chez lui. »
de Victor Hugo
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Présentation

  • : Le blog de Maune
  • : Léon, croisé Golden et Beauceron, raconte son arrivée chez sa nouvelle maîtresse, Maune, avec les doigts de celle ci. Il ajoute sur ce blog tout ce que Maune trouve sur les Léon ainsi que ses coups de coeur. A partir de la page 19, Maune et Léon consacrent certain de leurs articles aux activités professionnelles ou ludiques, canines et humaines.
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Maune & Léon

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Texte Libre

   le loup et le chien



Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

Les Fables, Livre Iby Emlyn

Texte Libre

Au fond du vieux refuge
Dans une niche en bois
Depuis deux ans je purge
D'avoir trop cru en toi
Tous les jours je t'attends
Certain que tu viendras
Tous les soirs je m'endors
Sans que tu sois là.
Que c'est-il donc passé
Pour que ce 16 juin
Heureux que tu étais
Je me rappelle bien
Tu sifflais, tu chantais
En bouclant les valises
Que tu m'aies attaché
Là devant cette église
Ton absence me pèse
Et les jours sont si longs.
Mon corps s'épuise
Et mon coeur se morfond
Je n'ai plus le goût à rien

Et je deviens si laid
Que personne jamais
Ne voudra m'adopter.
Tu m'as mis à la chaîne
Ou tu m'as enfermé
Tu m'as laissé des jours
Sans boire et sans manger
J'ai dormi bien souvent
Dans ma niche sans toi
Paralysé, raidi
Tellement j'avais froid.
Pourtant si tu reviens
Nous partirons ensemble
Nous franchirons en choeur
La porte qui ressemble
À celle d'une prison
Et que je ne veux plus voir
Et dans laquelle hélas!
J'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine
Car je vois le gardien

Et le vétérinaire au loin
Ils entrent dans l'enclos
Et leurs visages blêmes
En disent long pour nous
Sur ce qu'ils nous amènent
Je suis heureux tu vois
Car dans quelques instants
Je vais tout oublier
Et comme il y a deux ans
Je m'endormirai sur toi
Mon seul et grand ami
Je dormirai toujours
Grâce à l'euthanasie.
À vous tous les humains
J'adresse une prière
Me tuer tout petit
Aurait peiné ma mère
Mais il eût mieux valu
Pour moi cette manière.
Et vous n'auriez pas eu
Aujourd'hui à le faire.
Texte de Monsieur :  DUMAS Gilbert

Texte Libre

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Texte Libre

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priere

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              L'homme est un loup pour l'homme...............

 

                         .............. et un gros con pour le Loup....

 

 

 

 

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Un enfant seul

Tout seul avec en main

Une belle tranche de pain,

Un enfant seul

Avec un chien

Qui le regarde comme un dieu

Qui tiendrait dans sa main

La clé du paradis des chiens.

Un enfant seul

Qui mord dans sa tranche de pain,

Et que le monde entier

Observe pour le voir donner

Avec simplicité,

Alors qu'il a très faim,

la moitié de son pain

Bien beurré à son chien.

 

 

Maurice Carême

 

 

 

 

 

 

 

La mort du loup

I

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

II

J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "

 

Alfred de Vigny (1797- 1863)