Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Top articles

  • bonjour les filles!

    22 novembre 2009

    Bonjour! Je n'ai pas peu revenir avant,car Maune à beaucoup de travail avec le demenagement et l'emmenagement. En plus nous n'avons internet que depuis deux jours.bon je me suis trompé sur le prénom de mon frangin me dit Elodie! Donc je rectifie, il s'appelle...

  • Léon et Pierre

    07 août 2013

    Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras,...

  • Léon et Georges

    30 août 2013

    à Aurore La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on...

  • Retour ou essai de retour sans Léon

    23 août 2020

    Bonjour, il y a eu beaucoup de changements depuis 2015. Avec mon compagnon à quatre pattes nous avons un gros changement dans notre vie. Nous avons déménagé dans une autre maison. Tous les deux tous seuls en amoureux. La vie n'a pas été facile. Moi, en...

  • Mes copains les chats

    23 novembre 2009

    Voici la miss Titoune et mon copain Ioupi! Titoune a toujours vilain caractere mais avec Ioupi on fait de sacrées parties tous les deux! On s'attrape par la queue ou les oreilles comme avec les frangins! bon, lui c'est plus difficile car les siennes sont...

  • Quelques photos

    23 novembre 2009

    Avril 2008 là je suis dans mains de Maune à deuxsemaines et demi mignon n'est ce pas? Quel coquin!! Hein qu'elle est belle ma Maman!! Trois bons petits diables. là c'est la dernière visite de Maune avec Emlyn et Yoann. Ici je suis sur les genoux d'Emlyn...

  • Léon PAPIN DUPONT - encore un Saint Léon

    06 décembre 2009

    Qui est Monsieur Dupont ? Monsieur Léon Papin Dupont, né en 1797, dans une famille de l'aristocratie martiniquaise, fait dès sa première communion une véritable expérience de Dieu. « Je versais un torrent de larmes et mon cœur fut inondé de joie ». Cette...

  • 1er Février 2009

    23 novembre 2009

    J'aime bien jouer au foot avec Maune.Mais elle dit que je triche. Je prends la ballon dans ma gueule alors que j'ai que le droit aux pattes alors on transforme le foot en rugby.On fait des mélées C'est rigolo. En plus on glisse moins en ce moment. Aujourd'hui,...

  • Bisque bisque la carotte!!

    23 novembre 2009

    Si vous voulez en savoir plus sur le pape Léon 1er allez sur wikipedia . Il y a un bel article Il y a eu aussi Léon IX (ci-contre), qui fut un pape voyageur et qui oeuvra pour la paix en Europe. Son non nom de naissance est Bruno d'Eguisheim-Dagsbourg....

  • Un papillon qui ne s'appelle pas Léon

    06 décembre 2009

    Un coup de ♥ Julien, horloger à la retraite, collectionne les papillons qu'il élève dans la serre de son appartement parisien. Parti dans le Vercors à la recherche d'un spécimen rare, il découvre bientôt que la fillette de sa voisine du dessus s'est cachée...

  • Qui était Saint Léon ?

    23 novembre 2009

    Né entre 390 et 400 en Toscane, Léon fut ordonné diacre puis archidiacre de Rome. A ce titre, il participa pendant près de dix ans au gouvernement des affaires de l'Eglise sous les papes Célestin Ier et Sixte III. Ses conseils furent très écoutés notamment...

  • Léon Léon Léon...

    06 décembre 2009

    Ben y'a plein de léon! blumblum badablum!!!! granbetta!!! et bien d'autres!!!! y'a du boulot! Kinou est revenue de Cesson! La crâneuse! Elle est partie en vacances pendant une semaine.Elle a fait plein de balades avec sa maitresse.Moi j'ai fais le garde...

  • Bonjour

    22 novembre 2009

    Je m'appelle Léon. J'ai trois mois.je vis chez Maune depuis 9 jours. Avant j'etais avec ma maman, mon frere(Diwan) et ma soeur ( dana) chez elodie et Amaele.Mon papa vit pas loin. Ma maman est belle et blonde et mon papa est un beau brun et roux. Elle...

  • Léon VERANE

    06 décembre 2009

    Léon Vérane, né à Toulon le 21 décembre 1886 et mort à Paris le 10 novembre 1954, est un poète français. Léon Vérane était membre de l'École fantaisiste, qui regroupait également Paul-Jean Toulet, Tristan Derème, Jean-Marc Bernard, Tristan Klingsor et...

  • Didier

    23 novembre 2009

    Bonsoir! nous sommes lundi 10 novembre et c'est la saint Léon! J'ai eu de grosses papouilles de tout le monde,même de jean paul. Je suis content car lui j'ai eu beaucoup de mal à l'apprivoiser! Hier, j'ai senti les fesses de kinou et Maune a levé le doigt...

  • Coco Léon ou Paon

    06 décembre 2009

    Le Paon bleu (Pavo cristatus) est une espèce d'oiseau galliforme de la famille des phasianidés. C'est un oiseau originaire d'Asie (plus principalement d'Inde et du Sri Lanka). Il est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique qu'il peut...

  • Léon BLOY

    06 décembre 2009

    Biographie Léon Bloy s'est créé dans la littérature du XIXe siècle finissant un personnage paradoxal d'écrivain solitaire et de chrétien anticlérical, uniquement préoccupé de Dieu dans un monde « au seuil de l'Apocalypse ». Né à Périgueux en 1846, il...

  • Des nouvelles

    23 novembre 2009

    Hihi j'adore me mettre sur le dos et prendre toute la place par terre ! J'ai décidé qu'aujourd'hui ce serait Emlyn, la fille de Maune, qui écrirait sur le blog... Maune n'a pas le temps, elle travaille tout le temps et essuie sans cesse mes attaques de...

  • Bonjour la Compagnie!

    06 janvier 2010

    oui, tu as raison bob , Maune et moi nous nous sommes absentés trop longtemps......Mais Maune a eu plein de choses à faire! et..... avec ioupy on s'est bien amusé aussi! On a fait des bétises et, même que cette aprés midi la titoune nous a soufflé dessus...

  • LEON-PAUL FARGUE 1876-1947

    23 novembre 2009

    Léon-Paul Fargue est né le 4 mars 1876 à Paris. Il fait de bonnes études au collège Rollin, au lycée Janson-de-Sailly, puis brièvement au lycée Henri IV où il se lie avec Alfred Jarry. Etudiant, il hésite entre la littérature, la musique et la peinture....

  • LEON Duchemin

    24 novembre 2009

    Connaissez vous? Pour les plus vieux, souvenez vous de ce paisible restaurateur veuf vivant en compagnie de Maria, sa soeur farfelue et de sa fille Juliette,devenue une jeune femme? Si je vous dis que tous ses clients représentent toute la faune allant...

  • Léon BLUE

    06 décembre 2009

    Leon Blue "Le Pianiste des Stars" des albums "That Represent Man" et "Live & In Demand" Goofin' Sell My Monkey Ce sont les disques de Meade Lux Lewis, Albert Ammons et Charles Brown qui montrent à Leon la direction à prendre alors qu'il n'a encore que...

  • Moi et mes chats

    23 novembre 2009

    Attention! Pas sérieux s'abstenir!! C'est Ioupi, c'est mon pote. On s'amuse bien tous les deux! Elle est trés gentille mais alors quel caractère!!! Je n'ai pas le droit de la renifler..... de rester à côté d'elle...... J'ai tout juste le droit de la croiser...

  • Bonjour les filles!

    23 novembre 2009

    Bonjour les filles! Alors comme çamon frangin se goinffre de bonbons? Un kilo en plus! Ben moi j'ai mangé un apppareil photos 5 paires de chaussons,entamé deux coussins de canapé et un coussin de fauteuil (presque completement), une paires de lacets,...

  • Léon Cladel

    24 novembre 2009

    Léon Alpinien Cladel,né à Montauban ( Tarn-et-Garonne ) le 22 mars 1834 et mort à Sèvres( Hauts-de-Seine ) le 21 juillet 1892, est romancier et nouvelliste français. Léon Cladel est issu d'une famille catholique d'artisans et d'agriculteurs du Quercy....

1 2 3 4 5 6 7 8 9 > >>

Présentation

  • : Le blog de Maune
  • : Léon, croisé Golden et Beauceron, raconte son arrivée chez sa nouvelle maîtresse, Maune, avec les doigts de celle ci. Il ajoute sur ce blog tout ce que Maune trouve sur les Léon ainsi que ses coups de coeur. A partir de la page 19, Maune et Léon consacrent certain de leurs articles aux activités professionnelles ou ludiques, canines et humaines.
  • Contact

Maune & Léon

Recherche

dessin

léon maun

Texte Libre

   le loup et le chien



Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

Les Fables, Livre Iby Emlyn

Texte Libre

Au fond du vieux refuge
Dans une niche en bois
Depuis deux ans je purge
D'avoir trop cru en toi
Tous les jours je t'attends
Certain que tu viendras
Tous les soirs je m'endors
Sans que tu sois là.
Que c'est-il donc passé
Pour que ce 16 juin
Heureux que tu étais
Je me rappelle bien
Tu sifflais, tu chantais
En bouclant les valises
Que tu m'aies attaché
Là devant cette église
Ton absence me pèse
Et les jours sont si longs.
Mon corps s'épuise
Et mon coeur se morfond
Je n'ai plus le goût à rien

Et je deviens si laid
Que personne jamais
Ne voudra m'adopter.
Tu m'as mis à la chaîne
Ou tu m'as enfermé
Tu m'as laissé des jours
Sans boire et sans manger
J'ai dormi bien souvent
Dans ma niche sans toi
Paralysé, raidi
Tellement j'avais froid.
Pourtant si tu reviens
Nous partirons ensemble
Nous franchirons en choeur
La porte qui ressemble
À celle d'une prison
Et que je ne veux plus voir
Et dans laquelle hélas!
J'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine
Car je vois le gardien

Et le vétérinaire au loin
Ils entrent dans l'enclos
Et leurs visages blêmes
En disent long pour nous
Sur ce qu'ils nous amènent
Je suis heureux tu vois
Car dans quelques instants
Je vais tout oublier
Et comme il y a deux ans
Je m'endormirai sur toi
Mon seul et grand ami
Je dormirai toujours
Grâce à l'euthanasie.
À vous tous les humains
J'adresse une prière
Me tuer tout petit
Aurait peiné ma mère
Mais il eût mieux valu
Pour moi cette manière.
Et vous n'auriez pas eu
Aujourd'hui à le faire.
Texte de Monsieur :  DUMAS Gilbert

Texte Libre

088.gifDSC04408

Texte Libre

vg-tigre-jungle.jpg

priere

fond-ecran-profil-de-chat-noir.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

              L'homme est un loup pour l'homme...............

 

                         .............. et un gros con pour le Loup....

 

 

 

 

loup.jpg

 

 

 

 

 

Un enfant seul

Tout seul avec en main

Une belle tranche de pain,

Un enfant seul

Avec un chien

Qui le regarde comme un dieu

Qui tiendrait dans sa main

La clé du paradis des chiens.

Un enfant seul

Qui mord dans sa tranche de pain,

Et que le monde entier

Observe pour le voir donner

Avec simplicité,

Alors qu'il a très faim,

la moitié de son pain

Bien beurré à son chien.

 

 

Maurice Carême

 

 

 

 

 

 

 

La mort du loup

I

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

II

J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "

 

Alfred de Vigny (1797- 1863)