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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 17:13
J'aime bien jouer au foot avec Maune.Mais elle dit que je triche. Je prends la ballon dans ma gueule alors que j'ai que le droit aux pattes alors on transforme le foot en rugby.On fait des mélées C'est rigolo.
En plus on glisse moins en ce moment. Aujourd'hui, j'ai aidé Maune à rentrer du bois du fond du terrain.
Il faisait moins 4.Pour demain lamétéo ont prévu moins 5.
Maune a vraiment hate d'être en vacances.C'est bien elle pourra jouer avec moi.
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 17:11
Bonjour les filles!
Alors comme çamon frangin se goinffre de bonbons? Un kilo en plus!
Ben moi j'ai mangé un apppareil photos 5 paires de chaussons,entamé deux coussins de canapé et un coussin de fauteuil (presque completement), une paires de lacets, baskettes, un truc que mettait maune dans son coffre pour ranger les courses, un bouquin de math qui datait( m'a dit en colere maune) de1890 environ mais j'aime pas trop la geometrie et l'algebre donc je les ai laissés........... (les triangles ont des angles pointus!)des rouleaux de pq, un rouleau de sopalin, un rouleau de scottch marron our carton, et j'ai aussi vider les poubelles dela salle de bain que j'ai revomi dans le coffre et ressorti par les voix naturel aussi au meme endroit.
alors! c'estmoi le meilleur! Et c'est Maune qui a dû prendre les plus grosses coleres! ouf..... Et j'aime pas quand elle est en colere en plus aprés elle me fait la gueule comme on dit en humain.Même sijesuis gentil enplus....... alors jefaiscomme ioupy mon pote le chat,quand il veut une carresse.Je fais aussi le chien malheureux avec des yeux tristes, je donne lapatte et jeme fais tout petit. En plus c'estpas facile je fais presque 40 kilos!
Mais ça marche pas du tout.Elle m'appelle plus son léonidoux mais LEON avec de vilains yeux pas beaux.
Pourtant c'est super de jouer avec elle au foot dans le terrain! Et je gagne toujours!
OUI je veux bien des photos de mon frere et ma soeur. Ca me ferait vraiment plaisir.

Je reviendrai faire untour dans la semaine et il yaura des photos.
Les filles svp pourriez vous m'envoyer votre adresse courriel pour que maune puisse vous envoyer unfilm.
jevous fais un gros chloups à toutes les deux et Maune un gros bisou pour cette nouvelle année.
A vous deux ainsi qu'à tous ceux qui viennent lire je vous souhaite une année pleine dejoies, de fous rire et surtout une bonne santé
à bientôt
est ce que ça vous interresse les articles sur les Léon? Y ena plein!
Léon
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 17:09
Un photo d'il y'a trois semaines...

Je suis encore ungros bébé
je pèse quand même plus detrente kilos!
vous avez vu il est pas mal Leon Paul Fargue
mais je ne trouve aucune de ses oeuvres surle net !
Heu............. pas moi mais Maune.
Bisous!
Leon


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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 17:07
Léon-Paul Fargue est né le 4 mars 1876 à Paris. Il fait de bonnes études au collège Rollin, au lycée Janson-de-Sailly, puis brièvement au lycée Henri IV où il se lie avec Alfred Jarry.

Etudiant, il hésite entre la littérature, la musique et la peinture. Après quelques essais à Pont-Aven sur les traces de Gauguin, il choisit finalement d'écrire et publie en 1895 sa première œuvre : Tancrède. Il traîne dans la bohème de Montmartre sous l'ombre de Verlaine et du Cabaret du Chat Noir, puis il rencontre Mallarmé, Valéry, Gide ou Vuillard. Il participe à la création de revues : La Croisade, avec Francis Jourdain et Maurice Tourneur, L'Art Littéraire, avec Alfred Jarry. Le Mercure de France puis la Plume publient bientôt ses poèmes

En 1900, après trois ans de service militaire dans l'Est, Fargue retrouve Paris et épisodiquement la fabrique de son père, verrier d'art et céramiste,Dès 1902, il est introduit dans la sphère musicale, aux côtés de Ricardo Viñes et Maurice Ravel, avec qui il formera la fameuse bande des "Apaches d'Auteuil". Parallèlement il se lie avec Charles-Louis Philippe et Marguerite Audoux, amitiés qui aboutiront au "groupe de Carnetin", havre amical loué près de Paris, où la poésie et la décontraction règnent en maîtres.

Il ne publie presque rien durant cette période, cependant il participe aux débuts de La Nouvelle Revue Française. En 1909, il rencontre Valery Larbaud et ce sera le début d'une amitié importante. Enfin en 1912 paraît Poèmes son second livre, fondateur par son utilisation des mots et de la langue, qui fera des émules et qui lui assurera la notoriété auprès de gens très divers, d'Apollinaire à Claudel, d'Alain-Fournier à Proust.

Mobilisé en 1914 à Laon, il sera rapidement réformé et retrouvera, autour de la libraire Adrienne Monnier, ses amis Jean Cocteau et Erik Satie, lequel composera peu après six mélodies sur les Ludions. Rue de l'Odéon se crée la confrérie des"Potassons"qui s'élargit aux fidèles de La Maison des Amis des Livres et rassemble les amateurs, aussi divers que Claudel ou Valentine Hugo, de poésies, d'arts et de... contrepèteries.

Dans les années 20, Fargue fonde et dirige la prestigieuse revue Commerce avec Valery Larbaud et Paul Valéry, relayé par Jean Paulhan. Il se lie avec certains surréalistes notamment Philippe Soupault et Robert Desnos, côtoie Malraux, Saint- Exupéry, Joyce, Beucler ou Michaux. Il publie son oeuvre poétique seconde manière, en prose, dans Commerce, qu'il rassemble dans Espaces et Sous la lampe en 1929.

Les années 30 sont marquées par une nouvelle activité, trés prolixe, la chronique journalistique, qui donnera des essais sur des sujets très divers, de la critique littéraire à des thèmes beaucoup plus légers comme les aléas de la mode, mais où l'art, la poésie et l'homme sont omniprésents. Ils seront réunis plus tard dans Déjeuners de soleil et Dîners de lune.

Il recevra pour D'après Paris le prix de la Renaissance en 1932, sera élu à l'Académie Mallarmé en 1937, et sera membre de l'Académie Ronsard. En 1939 il publie son livre le plus connu, qui lui servira aussi de surnom : Le piéton de Paris.

Il recevra pour D'après Paris le prix de la Renaissance en 1932, sera élu à l'Académie Mallarmé en 1937, et sera membre de l'Académie Ronsard. En 1939 il publie son livre le plus connu, qui lui servira aussi de surnom : Le piéton de Paris.

En 1941 il publie Haute solitude parfois considéré comme son chef d'oeuvre poétique. En 1943, au cours d'un repas avec Picasso, il est frappé d'hémiplégie et restera paralysé. Il n'en continue pas moins à écrire et reçoit en 1946 le grand Prix de la Ville de Paris.

Il meurt à 71 ans, le 24 novembre 1947, chez lui à Paris.

Son oeuvre comprend des poèmes en prose et en vers : Tancrède, Poèmes, Pour la musique, Vulturne, Ludions, D'après Paris, Haute solitude ...
mais aussi des chroniques et des essais : Sous la lampe, Le piéton de Paris, Lanterne magique, Méandres, Pour la peinture ...


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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 17:02
clic ---> 

Un cadeau les filles, de la part de Maune, et de moi, Léon.

clic ---> ♥♥

Leona féminin de Léon c'est joli aussi
bisous à vous deux les filles!
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 16:57


Si vous voulez en savoir plus sur le pape Léon 1er allez sur wikipedia . Il y a un bel article
Il y a eu aussi Léon IX (ci-contre), qui fut un pape voyageur et qui oeuvra pour la paix en Europe.
Son non nom de naissance est Bruno d'Eguisheim-Dagsbourg. Il est né le 21 Juin 1002 et a été pape du 12 Février 1049 au 19 Avril 1054.




Et c'est qui, qui disait que mon prénom était moche? HEIN !
Y a déjà deux papes qui ont le même que moi!
Et c'est pas n'importe qui les Léon! et toc!
Et c'est pas fini mes jolies! avec Maune ont fait plein de recherches vous allez voir!
Et pourquoi les Jules reviendraient à la mode et pas les Léon? humm?
Et aussi on a vu avec Maune que c'est un prénom de chien de race !
Vous en dites quoi de ça hein?
Pis c'est mieux que Dagobert car moi je mets pas ma culotte à l'envers...........







Signification du prénom Léon

Origine Le prénom Léon vient du prénom latin Leonis.

Histoire Ce prénom fut formé à partir du terme latin leo qui signifie "lion". Il symbolisait la force et le courage au temps des premiers chrétiens.

Saint patron Saint Léon fut Pape au milieu du Ve siècle, une époque trouble durant laquelle l'Empire devait faire face à de nombreuses attaques des peuples voisins. L'Eglise l'honore le 10 novembre.

Prenoms approchants Leao, Lee, Lenny, Leonella, Leonias, Leonid, Leonida, Leonila, Leonilda, Lev, Lionel, Lionelle, Lionello, Lionnel, Léo, Léone, Léonie, Léonille, Léontin *

chez les humains en 2006 il ya eu 237 petits Léon qui sont nés.
il estle 1485 eme prénom préféré ( tant mieux comme il ne devient pas commun)
83% des gens craquent pour ce prénom
8% aiment bien et 8% le trouve trop démodé

les petits garçon se prénommant Leon sont trés francs, fonceurs, espiegles et drôle. Ils ne ménagent pas leurs efforts pour obtenir ce qu'ils veulent et sont adorables.

c'est tout moi ça!


Les départements dans lesquels le prénom Leon a été le plus donné en 2006 :

* Bas-Rhin (67) : 67e prénom le plus donné
* Yonne (89) : 85e prénom le plus donné
* Haut-Rhin (68) : 89e prénom le plus donné
* Tarn (81) : 103e prénom le plus donné
* Vendée (85) : 108e prénom le plus donné


Sur la carte de France c'est dans l' Yonne, le Haut Rhin et le Bas Rhin qu'il y a plus de Léon



les fêtes de Léon hé hé......

Dates de Fête
19 avril, Fête Locale.................................................pour st Léon IX
10 novembre, Mémoire obligatoire.......................pour st Léon le grand


Toutes les fêtes liées à ce prénom

Daniel et ses compagnons
Frère mineurs, martyrs à Ceuta, au Maroc (+ 1227)

Léon ( 4 eme s.)

Léon martyr à Ceuta (+ 1227)

Léon Confesseur (+ 787)

Léon (+ 541)

Léon Archevêque de Rouen (+ 900)

Léon (+ 550)

Léon de Patare (3ème s.)

Léon de Thrace Empereur (+ 474)

Léon II Pape (80 ème) de 681 à 683 (+ 683)

Léon III Pape (96 ème) de 795 à 816 (+ 816)

Léon IV Pape (103 ème) de 847 à 855 (+ 855)

Léon IX Pape (150 ème) de 1049 à 1054 (+ 1054)

Léon le Grand Pape (45 ème) de 440 à 461 (+ 461)

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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 16:55
Né entre 390 et 400 en Toscane, Léon fut ordonné diacre puis archidiacre de Rome. A ce titre, il participa pendant près de dix ans au gouvernement des affaires de l'Eglise sous les papes Célestin Ier et Sixte III. Ses conseils furent très écoutés notamment pour déjouer les ruses des hérétiques et pour faire cesser les dissidences entre les princes séculiers.

A la mort de Sixte III en 440, Léon, absent de Rome car envoyé en Gaule pour faire cesser une lutte entre deux seigneurs, fut élu pape par le clergé et le peuple romain sous le nom de Léon Ier.

A cette époque, le vieil empire romain était sur le point de s'écrouler. Les lois n'étaient plus respectées, les hérésies reprenaient vigueur et nombreux étaient les princes de l'Eglise qui s'octroyaient les pleins pouvoirs.

Léon Ier prit soin d'instruire les fidèles en consacrant beaucoup de temps à la prédication : « avec des sermons courts, il mit tout en œuvre pour frapper les esprits, émouvoir les cœurs et élever les âmes ». Dès le début de son pontificat, il montra ses qualités d'homme, de pasteur et de chef.

Il entreprit de nombreuses réformes urgentes pour restaurer la primauté et la sûreté de Rome et mit en garde le peuple contre la contagion des erreurs manichéennes (le manichéisme est une hérésie qui admet deux principes divins : le Bien et le Mal).

En 443, il réunit à Rome une assemblée d'évêques et de prêtres pour exhorter les sectes à se rétracter de leurs erreurs : beaucoup se convertirent et les récalcitrants furent punis.

Il lutta avec la même ardeur contre les Pélagiens (le pélagianisme est une doctrine qui attribue un caractère tout-puissant à la volonté humaine pour lutter contre le péché ; elle croit à la perfection possible sur terre). Il entreprit de rétablir la discipline et s'opposa aux abus d'autorité des églises d'Afrique et d'Orient. Il affirma la primauté du Saint-Siège contre certains prélats usant à tort de leur pouvoir.

En 448, Eutychès, archimandrite de Constantinople, propose une théorie monophysite ne reconnaissant au Christ qu'une
Saint Léon
© Paroisse Saint Léon
nature purement divine ; il parvient à réunir un concile pour y exposer sa doctrine : alerté par Flavien l'évêque de Constantinople, Léon reconnaît le danger et adresse à Flavien en juin 449 une lettre dogmatique, dite Tome de Léon, par laquelle il expose la doctrine romaine des deux natures du Christ, divine et humaine, réunies en une seule personne ; en même temps des sanctions canoniques sont prises contre Eutychès. Deux ans plus tard, en 451, Léon fit reconnaître cette doctrine par le Concile de Chalcédoine.

En 452, Attila, après sa défaite aux Champs Catalauniques, réapparaît dans le Nord de l'Italie constituant une menace pour Rome : l'empereur, le Sénat et le peuple demandent à Léon d'intervenir auprès d'Attila ; Léon rencontre Attila près de Mantoue et réussit à lui faire signer une paix.

En 455, le vandale Genséric s'empara de Rome, pilla la ville en emportant un immense butin ; Léon obtint de Genséric que ses vandales ne versent pas le sang et ne démolissent pas les édifices.

Léon mourut le 10 novembre 461 après avoir gouverné l'église pendant 21 ans. En 1751, Benoît XIV a déclaré Léon le Grand docteur de l'Eglise. Léon Ier et Grégoire Ier sont les 2 seuls papes auxquels a été attribué le qualificatif de « grand ».
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 16:53


Bonsoir! nous sommes lundi 10 novembre et c'est la saint Léon!
J'ai eu de grosses papouilles de tout le monde,même de jean paul. Je suis content car lui j'ai eu beaucoup de mal à l'apprivoiser!
Hier, j'ai senti les fesses de kinou et Maune a levé le doigt en disant " Leon on ne sent pas les fesses des filles" et elle a pris un gros fou rire.Elle a dû penser au film d'Alain Chabat ....... parce qu'elle m'a dit à l'oreille heureusement que je ne t'ai pas appelé Didier... Oui! Mais , bon! moi j'aime bien sentir les fesses de kinou!
bon Zorro commence!
Maune veut pas le louper ! a demain!
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 16:45
Hihi j'adore me mettre sur le dos et prendre toute la place par terre ! J'ai décidé qu'aujourd'hui ce serait Emlyn, la fille de Maune, qui écrirait sur le blog... Maune n'a pas le temps, elle travaille tout le temps et essuie sans cesse mes attaques de bêtises incessantes. Comme par exemple manger ses chaussons... Maune ne supporte pas ça. Aujourd'hui elle m'a puni très fort dans ma niche, et je n'ai pas le droit d'en bouger. Mais sa fille est plus gentille, elle me caresse quand même la tête de temps en temps.


L'autre jour, j'ai mangé un merle. En fait, je l'ai attrapé au vol et je l'ai croqué aussitôt ! C'était bon de l'avaler en entier, c'était bien croquant !
Mais j'ai été très malade après... mon ventre n'a pas supporté l'oiseau. Et puis, j'ai eu mal aux oreilles ...
Et puis, ce week end je me suis trouvé un nouveau copain ! Il s'appelle Dorlin, c'est un Brésilien ... enfin, c'est comme ça que son maître l'appelle. En fait, c'est un Fila, et il est plus grand que moi !!! Si, si, c'est possible ! Moi je ne fait qu'un peu plus de 30kg, et lui 40 ! Nous avons fait de sacrées parties de bagarres ! C'était rigolo ! Mais Maune rigolait moins quand elle a vu tout le bazar...nous avons envoyé les chaises à travers la salle de séjour. Et mon copain Ioupi n'a pas pu sortir jouer avec nous, parce que le Brésilien n'aime pas les chats. Mais moi je me suis bien amusé, parce que pour une fois j'avais un pote aussi fort que moi. Kinou n'a pas trop apprécié, mais peu importe, hein








Maune n'a pas encore chargé ses photos dans son pc, ni Emlyn d'ailleurs... donc je ne peux pas ajouter de nouvelles images de moi. Mais j'en mets des vieilles, sur lesquelles j'étais encore petit.

J'avais peur dans la nuit... maintenant, je n'ai plus peur...



Avant, j'avais le droit de me coucher dans le canapé, mais maintenant c'est fini... je suis obligé de me coucher dans ma niche. Parce que maintenant, je suis trop gros... enfin, c'est la raison principale... mais aussi parce que j'ai fait des bêtises... alors Maune n'était pas contente et a décidé que je n'avais plus le droit aux coussins en cuir.



J'adorais piquer la niche de Ioupi... mais déjà petit, j'étais trop gros pour me mettre entièrement dedans.






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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 16:42


Voici la miss Titoune et mon copain Ioupi!
Titoune a toujours vilain caractere mais avec Ioupi on fait de sacrées parties tous les deux!
On s'attrape par la queue ou les oreilles comme avec les frangins! bon, lui c'est plus difficile car les siennes sont toutes petites alors je le chope par la queue mais les oreilles j'y arrive aussi! Lui a moins de mal que moi pour les oreilles...........elles sont grandes les miennes! Une fois j'ai réussi à le suivre sous un meuble mais c'est Maune qui m'en sorti........... je ne pouvais plus ressortir........
Maintenant, je ne pourrai plus. j'ai encore grandi m'a dit Maune.Même si elle m'appelle quelques fois son gros bébé ...Au fait la souris est passée! C'est comme ça qu'on dit chezles hommes quand on a perdu des dents et que d'autres poussent. j'ai de nouvelles incisives de grand.




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Présentation

  • : Le blog de Maune
  • : Léon, croisé Golden et Beauceron, raconte son arrivée chez sa nouvelle maîtresse, Maune, avec les doigts de celle ci. Il ajoute sur ce blog tout ce que Maune trouve sur les Léon ainsi que ses coups de coeur. A partir de la page 19, Maune et Léon consacrent certain de leurs articles aux activités professionnelles ou ludiques, canines et humaines.
  • Contact

Maune & Léon

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léon maun

Texte Libre

   le loup et le chien



Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

Les Fables, Livre Iby Emlyn

Texte Libre

Au fond du vieux refuge
Dans une niche en bois
Depuis deux ans je purge
D'avoir trop cru en toi
Tous les jours je t'attends
Certain que tu viendras
Tous les soirs je m'endors
Sans que tu sois là.
Que c'est-il donc passé
Pour que ce 16 juin
Heureux que tu étais
Je me rappelle bien
Tu sifflais, tu chantais
En bouclant les valises
Que tu m'aies attaché
Là devant cette église
Ton absence me pèse
Et les jours sont si longs.
Mon corps s'épuise
Et mon coeur se morfond
Je n'ai plus le goût à rien

Et je deviens si laid
Que personne jamais
Ne voudra m'adopter.
Tu m'as mis à la chaîne
Ou tu m'as enfermé
Tu m'as laissé des jours
Sans boire et sans manger
J'ai dormi bien souvent
Dans ma niche sans toi
Paralysé, raidi
Tellement j'avais froid.
Pourtant si tu reviens
Nous partirons ensemble
Nous franchirons en choeur
La porte qui ressemble
À celle d'une prison
Et que je ne veux plus voir
Et dans laquelle hélas!
J'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine
Car je vois le gardien

Et le vétérinaire au loin
Ils entrent dans l'enclos
Et leurs visages blêmes
En disent long pour nous
Sur ce qu'ils nous amènent
Je suis heureux tu vois
Car dans quelques instants
Je vais tout oublier
Et comme il y a deux ans
Je m'endormirai sur toi
Mon seul et grand ami
Je dormirai toujours
Grâce à l'euthanasie.
À vous tous les humains
J'adresse une prière
Me tuer tout petit
Aurait peiné ma mère
Mais il eût mieux valu
Pour moi cette manière.
Et vous n'auriez pas eu
Aujourd'hui à le faire.
Texte de Monsieur :  DUMAS Gilbert

Texte Libre

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Texte Libre

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priere

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              L'homme est un loup pour l'homme...............

 

                         .............. et un gros con pour le Loup....

 

 

 

 

loup.jpg

 

 

 

 

 

Un enfant seul

Tout seul avec en main

Une belle tranche de pain,

Un enfant seul

Avec un chien

Qui le regarde comme un dieu

Qui tiendrait dans sa main

La clé du paradis des chiens.

Un enfant seul

Qui mord dans sa tranche de pain,

Et que le monde entier

Observe pour le voir donner

Avec simplicité,

Alors qu'il a très faim,

la moitié de son pain

Bien beurré à son chien.

 

 

Maurice Carême

 

 

 

 

 

 

 

La mort du loup

I

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

II

J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "

 

Alfred de Vigny (1797- 1863)