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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 14:56

bonjour les 4 pattes et les 2 pattes!! me suis promené ce matin avec Maune. Elle a fait quelques photos mais  bon , vous ne la verrez pas car elle a pas voulu me preter son telephone, la radine !!! ppffffff

 

 

 

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voili voilou les copainsssssssss!!!!

vous voyez qu'il fait beau aussi en bretagne !!!

un bisou de maune et une leche de moi !!!!

schouuuuuuuuuups!

leon

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 01:04

Le talentueux polémiste maniait tour à tour l’ironie, l’humour, le rire, l’indignation aux dépens de la canaille et des salopards.

Léon Daudet naît le 16 novembre 1867 à Paris dans le quartier du Marais. Il est le fils d’Alphonse Daudet. Sa famille est originaire du Gard.

Après de brillantes études au Lycée Charlemagne, puis au Lycée Louis le Grand (il est lauréat du concours général), il suit les cours de la faculté de médecine et devient interne des hôpitaux. Par son père cependant, il fait la connaissance de grands écrivains de son temps, Edmond de Goncourt, Flaubert, Drumont, etc... Après son mariage (seulement civil) avec Jeanne Hugo, en 1891, la petite-fille du poète, il est introduit dans les salons fréquentés par des personnalités républicaines.

Il commence à publier des ouvrages écrits d’une plume vigoureuse et témoignant d’une grande richesse de vues, notamment Les Morticoles et Le voyage de Shakespeare. En même temps il collabore à plusieurs journaux dont La Libre Parole d’Édouard Drumont. Il semble promis à un bel avenir comme écrivain encensé par les serviteurs du régime.

 

 

Chasse aux traîtres

Leon-Daudet-2.jpgL’affaire Dreyfus est pour lui comme pour tant d’autres un révélateur. Il mène le combat nationaliste contre les détracteurs de l’Armée et va rompre avec les milieux républicains.

En 1903 il épouse sa cousine Marthe Allard qui, sous le pseudonyme de “Pampille”, possède déjà un joli talent de plume. En 1905 il rejoint Charles Maurras et l’Action française. Ce fut un des prodiges de l’A.F. que de réunir des tempéraments aussi contrastés que Maurras, Daudet, Vaugeois, Pujo, etc. Point de rivalité entre eux, chacun s’appliquait avec abnégation à servir la cause de la France et du Roi. Seule la mort put mettre fin à leur profonde amitié.

En 1908, Daudet apporte 300.000 francs qu’il a reçu en héritage pour contribuer à la fondation du quotidien L’Action Française. Dans les années précédant la guerre de 1914, il publie des articles prophétiques qui seront rassemblés dans un ouvrage sous le titre L’Avant-Guerre.

Durant la guerre, il s’attache à soutenir le moral des Français par ses écrits. Il s’engage aussi à fond dans la chasse aux espions et aux traîtres, dénonçant la collusion du ministre de l’Intérieur Malvy avec eux. Il en informe le président de la République Raymond Poincaré et provoque ainsi des poursuites judiciaires et des sanctions. En 1917, il est l’un des artisans de l’arrivée de Clemenceau au pouvoir.

Élu député de Paris en 1919, il va dominer la Chambre de sa puissante personnalité. Il ne mène pas seulement un combat politique pour préserver les acquis de la victoire face à Aristide Briand. Il défend aussi la culture française, notamment dans un discours demeuré célèbre sur les humanités.

L’assassinat de son fils Philippe, âgé de quatorze ans, en novembre 1923, l’atteint cruellement. Condamné pour avoir défendu sa mémoire, il s’enferme dans les bureaux de l’Action française avant de se rendre à la police (juin 1927). Il est emprisonné mais bientôt libéré par un stratagème des Camelots du Roi. Il s’exile alors en Belgique d’où il ne reviendra, gracié, qu’en janvier 1930.

Ces malheurs, supportés avec courage, n’ont pas empêché Léon Daudet de poursuivre une abondante production littéraire. Celle-ci compte de nombreux romans, mais aussi plusieurs ouvrages de souvenirs où Léon Daudet se montre un narrateur et portraitiste inégalable. C’est aussi le mémorialiste qui écrira les deux volumes de Paris vécu et le Bréviaire du journalisme où beaucoup de nos confrères aujourd’hui puiseraient d’utiles conseils. On n’aura garde d’oublier Le stupide XIXe siècle qui est une critique percutante du libéralisme demeurée très actuelle.

Léon Daudet avait l’art de rendre les idées vivantes en les personnalisant. Les hommes politiques et les journalistes se précipitaient chaque matin sur son éditorial de L’Action Française en redoutant d’être “épinglé” par le talentueux polémiste qui maniait tour à tour l’ironie, l’humour, le rire, l’indignation aux dépens des canailles et des salopards.

Orateur incomparable, il était souvent demandé en province où il transportait les foules. Il prit notamment la parole au rassemblement du Mont des Alouettes en avril 1926, devant 60 000 Vendéens.

On a parfois caricaturé Léon Daudet en ne retenant que certains aspects extérieurs de sa personnalité, il ne faut pas s’en tenir aux apparences.. Ce bon vivant, qui savourait les plaisirs de la table, était aussi un homme d’une vaste culture. Tout l’intéressait, à la manière des humanistes de la Renaissance. Ce polémiste était aussi un homme profondément bon, animé d’un véritable esprit de charité. Ajoutons qu’engagé dans un combat politique, solidement attaché à ses convictions, il n’en avait pas moins une grande ouverture d’esprit. Membre de l’Académie Goncourt depuis sa fondation, son goût littéraire sûr lui fit reconnaître le talent de Marcel Proust, André Gide, Louis-Ferdinand Céline, Pierre Benoît.

Une “force française”

En janvier 1999, un universitaire borné, traitait Léon Daudet d’« anarchiste de droite ». Daudet n’était pas un polémiste qui tapait à tort et à travers. Ils savait contrôler ses humeurs car il s’était mis à l’école de Maurras qui lui avait enseigné les vertus de l’ordre. Il se battait avant tout pour le service de la France et dans le souci d’éviter aux Français de nouveaux malheurs. C’est pourquoi Maurice Pujo dans un article d’hommage à sa mémoire a pu dire de Daudet qu’il était bien plus qu’une force de la nature, « une force humaine » et une « force française ».

Léon Daudet mourut le 1er juillet 1942 à Saint-Rémy-de-Provence où il est enterré.

 

Jacques Cépoy

 

 

 

 

 

Les Camelots du Roi :

Vive les Camelots du Roi, ma mère,
Vive les Camelots du Roi...
Ce sont des gens qui s'foutent des lois,
Vive les Camelots du Roi !
Et l'on s'en fout, à bas la République !
Et l'on s'en fout d'la Gueuse et d'ses voyous !

Vive la royauté ma mère,
Vive la royauté,
Il nous la faut pour cet été,
Vive la royauté !
Et vive le roi, A bas la République
Et vive le roi, la France y va tout droit.

Vive Charles Maurras ma mère,
Vive Charles Maurras !
C'est notre maître et c'est un as,
Vive Charles Maurras !
Il disait vrai, il prévoyait la guerre,
Il disait vrai, la Gueuse nous désarmait !

Vive Léon Daudet ma mère,
Vive Léon Daudet !
Il pend les tueurs au collet,
Vive Léon Daudet !
Les égorgeurs de la police politique,
Tremblent de peur à sa juste fureur !

Vive Maurice Pujo ma mère,
Vive Maurice Pujo !
Il est la terreur des sergos,
Vive Maurice Pujo !

Et vive le roi, A bas la République
Et vive le roi, La gueuse on la pendra. A la lanterne
Et si on ne la pend pas, on lui cassera la gueule,
Et si on ne la pend pas, la gueule on lui cassera !

Ah ça ira ça ira ça ira !
Tous les députés à la lanterne,
Ah ça ira ça ira ça ira !
Tous les députés on les pendra !

Vive le duc de Guise ma mère,
Vive le duc de Guise!
Servir la France est sa devise,
Vive le duc de Guise !

Et vive le roi, A bas la République
Et vive le roi, qui défendra nos droits !

 

 

leon daudet 1

 

 

 

 

 

 

liens:

 

   http://fr.metapedia.org/wiki/L%C3%A9on_Daudet      

 

 

 http://www.camelotsduroi.fr/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=52&Itemid=24     

 

 

    http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Daudet      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 00:07

 

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Le chien de Tervuren est une variété de chien née au début du XXe siècle. C'est l'une des quatre variété de chiens de la race bergers belges, les autres étant le Groenendal, le Laekenois et le Malinois .

 

  Son éducation est facilitée par son intelligence et sa faculté naturelle d'observation et de compréhension.C'est un chien de travail  très apprécié des services de police, armée , pistage et de sécurité. Souvent affectueux et patient avecles enfants, il est tès recherché comme chien de compagnie et pour la garde de propriétés. Le tervuren est le berger belge le plus titré dans les concours d'agilité, tout comme le malinois en ring. Il peut sauter jusqu'à 2 metres à l'âge de 4 ans

 

  

 

                           comportement                           

 Ce chien au sensible caractère est intelligent, rustique, il paraît réfléchir avant d’agir. Il possède souvent l'aptitude de gardien de troupeaux, et y joint parfois les qualités de chien de garde. Il est aussi souvent très joueur et toujours prêt à partir en promenade avec son maitre.

 

                               Morphologie

                                                                                                   

 
Chien de Tervuren en plein saut

La robe et le masque sont défini avec un strict minimum de huit points de pigmentations des phanères; les deux oreilles, les deux paupières supérieures, les deux babines supérieures et les deux babines inférieures doivent être noirs. Le poil  doit être court sur la tête , sur la face externe des oreilles et le bas des membres, sauf sur le bord posterieur de l'avant-bras qui est garni, du coude au poignet, de poils longs appelés franges. Longs et lisses sur le restant du corps et plus longs et abondants autour du cou  et sur le poitrail. Les poils les plus long se trouvent au niveau des fesses et de la queue. La couleur fauve charbonnée, restera la couleur préférée et par défaut. Le fauve doit être chaud ne pas être ni clair, ni délavé. Tout chien dont la couleur ne répond pas à l'intensité désirée, ne peut prétendre à un bon qualificatif.

La tête est bien ciselée, longue sans exagération, sèche. Le crâne et le museau sont de longueur sensiblement égale, avec, au maximum un très léger avantage pour le museau, ce qui donne une impression de finesse La truffe bien noire est humide, le chanfrein est droit ; vu de profil il est parallèle à la ligne imaginaire prolongeant le crâne. La gueule bien fendue, les lèvres doivent être fines bien serrées, et très pigmentées. Les joues sont sèches, bien plates quoique musclées. La mâchoire garnie de dents fortes et bien blanches, elles doivent être bien implantées, et en cisailles, c'est-à-dire que les incisives de la mâchoire supérieure doivent glisser sur celles de la mâchoire inférieure, et doivent dépasser légèrement. La superposition des incisives est tolérée; c'est cette denture, dite "en pince", que les bergers de troupeaux apprécient particulièrement Les yeux très noirs de grandeur moyenne, ni proéminents, ni enfoncés, légèrement en forme d'amande, les paupières bordées de noir Les oreilles sont triangulaires, raides et droites, haut plantées sur le crâne, de longueur. La queue bien implantée, forte à la base, de longueur moyenne. Au repos, le chien la tient pendante, la pointe légèrement recourbée en arrière au niveau du jarret. En action, il la relève et accentue la courbe vers la pointe, sans toutefois qu'à aucun moment elle ne puisse former crochet, ni déviation.

 

 

Santé

 Les bergers belges  n'ont pas souffert d'une sélection mal maîtrisée. De fait, il s'agit d'une race  qui résiste bien aux intempéries et aux variations climatiques fréquentes du climat belge. Toutefois, on note cependant une prédisposition à l'épilepsie et à la dystrophie musculaire.


 

   
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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 22:59

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Leon Schlumpf, né le 3 février 1925 à Felsberg et mort le 7 juillet 2012 à Coire, est une personnalité politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre.Après avoir fréquenté le gymnase de Coire, il étudie le droit à l'Université de Zurich, puis devient avocat au barreau de Coire de 1961 à 1965. Il est élu au Conseil d'État du canton des Grisons en 1966 et dirige pendant huit ans le département de l'Intérieur et de l'Économie publique. La même année, il est élu comme candidat du parti démocrate au Conseil national, puis est élu comme UDC au Conseil des États.

Le 5 décembre 1979, il est élu au Conseil fédéral. Il dirige le département des Transports, des Communications et de l'Énergie du 1er janvier 1980 au 31 décembre 1987 et est Président de la Confédération suisse en 1984.

Il meurt le 7 juillet 2012 à l'hôpital de Coire.

Sa fille, Eveline Widmer-Schlumpf, a également été élue au Conseil fédéral en 2007. Elle a accédé à la présidence de la confédération le 1er janvier 2012 position qu'elle aura jusqu'au 31 décembre 2012. En effet la Suisse change son Président chaque année.

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 22:20

 


 

Leonard Norman Cohen, né le 21 septembre 1934  à Montréal ( Quebec) , est un poête, romancier et  auteur-compositeur-interprete canadien. Son premier recueil de poésies paraît à Montréal en 1956 et son premier roman en 1963 .

Les premières chansons de Cohen (principalement celles deSongs of Leonard Cohen, (1967) sont ancrées dans la musique folk, et chantées avec une voix grave. Dans les années 1970 , ses influences se multiplient : musique pop , de cabaret , et du monde. Depuis les années 1980 , Cohen chante accompagné de synthétiseurs  et de choristes .

 

Dans tous ses travaux, Cohen reprend souvent les mêmes thèmes : l'amour-passion, la religion, la solitude, la sexualité et la complexité des relations interpersonnelles . Leonard Cohen assume sa dépression  chronique  depuis longtemps, et ne se l'est jamais caché, ni ne l'a jamais caché, allant jusqu'à en parler aux journalistes rassemblés à l'occasion de la conférence de presse pour parler de son album, Old Ideas.

La poésie et les chansons de Cohen ont influencé beaucoup d'autres auteurs-compositeurs-interprètes, et on compte à l'heure actuelle plus de 1 500 reprises de ses chansons2. Cohen est introduit au Panthéon de la musique canadienne en 1991 , auPanthéon des auteurs auteurs etcompositeurs canadiens en 2006 , au Rock and Roll Hall of Fame en 2008 . Il est un Compagnon de l'Ordre du Canada  (CC) depuis 2003, la plus haute distinction civile canadienne .

L'année 2008 marque son retour sur scène.

Son œuvre poétique est récompensée par le  Prix Prince des Asturies des Lettres 2011.

 

 

wikipedia      link

 

                                            400px-Leonard Cohen 2187-edited

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 23:28

Léon a 5 ans aujourd'hui !!! plein de grosses papouilles mon toutou

 

de mon coeur !!!

 

 

 

 

 


 

 

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 16:19

 

 

 

 

 


 
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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 15:05

 

 

Léon Morin, prêtre est un film franco-italien sorti le 15 septembre 1961 , adapté du roman Léon Morin  prêtre(1952) de Béatrice Beck  et réalisé par Jean-Batiste Melville.

 

Genre :  dramatique

 

 

avec   Jean-Paul Belmondo, Emmanuelle Riva, Irene Tunc                 

 

 

musique de Martial Solal et Albert Raisner

 

 
 

 

 

               leon morin pretre

 

 

 

 

Une jeune femme passionnée, Bany, vit pendant l'Occupation dans unepetite ville où s'est repliée l'entreprise de cours  parcorrespondance pour laquelle elle travaille. A la fois intelligente et frustrée, Barny qui élève seule sa fille France, souffre d'élans amoureuxqui laortent vers l'une ou l'autre de ses compagnes de travail. Incroyante, elle décide un jours de braver un prêtre qu'elle choisit au hasard. Et Barny se trouve prise au piege.

Léon Morin est  jeune, beau, fort et , intelligent ... lui aussi, sait user de sa force morale pour indiquerà Barny les chemins de sa conversion. Mais les deux personnages qui n'évoluent pas sur le même plan ne se rencontrerons pas.Barny s'éprend violemment de Léon Morin. Celui-ci, aucours des rencontres quiles opposent quotidiennement,tout en estiment à sa juste valeur son interlocutrice, sait lui résister.

La liberation survient. Les routes de Barny et de Léon se séparent brusquement. La vie  les eloignent à jamais. Le prêtre a le dernier mot: " On se reverra. Pas, dans ce monde ...Dans l'autre ! "

 

 

 


 

 

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 08:16

 

 

 

 

 

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Pour les enfants du monde entier

Qui n´ont plus rien à espérer
Je voudrais faire une prière
À tous les Maîtres de la Terre

À chaque enfant qui disparaît
C´est l´Univers qui tire un trait
Sur un espoir pour l´avenir
De pouvoir nous appartenir

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J´ai vu des enfants s´en aller
Sourire aux lèvres et cœur léger
Vers la mort et le paradis
Que des adultes avaient promis

Mais quand ils sautaient sur les mines
C´était Mozart qu´on assassine
Si le bonheur est à ce prix
De quel enfer s´est-il nourri?

Et combien faudra-t-il payer
De silence et d´obscurité
Pour effacer dans les mémoires
Le souvenir de leur histoire?

Quel testament, quel évangile
Quelle main aveugle ou imbécile
Peut condamner tant d´innocence
À tant de larmes et de souffrances?

 

 

 

 

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La peur, la haine et la violence
Ont mis le feu à leur enfance
Leurs chemins se sont hérissés
De misère et de barbelés

Peut-on convaincre un dictateur
D´écouter battre un peu son cœur?
Peut-on souhaiter d´un président
Qu´il pleure aussi de temps en temps?

Pour les enfants du monde entier
Qui n´ont de voix que pour pleurer
Je voudrais faire une prière
À tous les Maîtres de la Terre

Dans vos sommeils de somnifères
Où vous dormez les yeux ouverts
Laissez souffler pour un instant
La magie de vos cœurs d´enfants

Puisque l´on sait de par le monde
Faire la paix pour quelques secondes
Au nom du Père et pour Noël
Que la trêve soit éternelle

Qu´elle taise à jamais les rancœurs
Et qu´elle apaise au fond des cœurs
La vengeance et la cruauté
Jusqu´au bout de l´éternité

 

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Je n´ai pas l´ombre d´un pouvoir
Mais j´ai le cœur rempli d´espoir
Et de chansons pour aujourd´hui
Que sont des hymnes pour la vie

Et des ghettos, des bidonvilles
Du cœur du siècle de l´exil
Des voix s´élèvent un peu partout
Qui font chanter les gens debout

Vous pouvez fermer vos frontières
Bloquer vos ports et vos rivières
Mais les chansons voyagent à pied
En secret dans des cœurs fermés

Ce sont les mères qui les apprennent
à leurs enfants qui les reprennent
Elles finiront par éclater
Sous le ciel de la liberté

 

 

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Pour les enfants du monde entier


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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:10

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" marcher  à la queue leu leu "

 

 

 

 

Tout le monde connait cette expression  qui veut dire marcher les uns derriere les autres ...mais d'où vient elle?

 

 

C’est le latin "lupus" qui donna au XIe siècle les noms "leu" et "lou". Deux siècles plus tard y

sera ajouté un "p" donnant notre actuel "loup". Toutefois la forme "leu" subsistera jusqu’au XVIe siècle. "A la queue leu leu" renvoie donc aux loups qui, se déplaçant bien souvent en meutes, se suivent et marchent dans les pas les uns des autres, soit "les uns derrière les autres".

 

 

 

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" Quand on parle du loup on en voit la queue "

    

 



C’est un dicton assez vulgaire qu’on ne manque pas de citer quand on voit arriver dans une réunion une personne qui n’était pas attendue et qui faisait le sujet de la conversation. Quelque chose qu’on en dise, on s’arrête instantanément. Si l’on faisait son éloge, on se tait dans la crainte de blesser sa modestie ; si l’on en parlait en mal (ce qui arrive le plus souvent), on est encore plus décidé à ne pas continuer.

 

Les Latins disaient : Lupus in fabulat, ce qui signifiait le loup dans la conversation. En se servant de cette expression, on attribuait à l’apparition soudaine d’un loup le saisissement que l’on éprouve et qui se produit à peu près de la même façon que celui que l’on ressent à la vue d’une personne qui était le sujet de la conversation.3764_79483743042_5945342_n.jpg

 

Plutarque rappelle une exclamation qui a quelque rapport avec ce proverbe ; mais dont l’application avait lieu dans une circonstance différente. Lorsque, par exemple, dans une assemblée nombreuse au bruit des paroles, succédait un silence général, on disait alors deux mots que les Latins ont traduit ainsi : Mercurius supervenit (Mercure est arrivé), comme si l’on eût voulu donner à entendre qu’il n’était pas permis, en présence de Mercure, dieu du silence, de continuer un discours.

Ce proverbe est antérieur au XVIIe siècle et ne s’emploie que dans une acception de blâme qui implique peu de considération pour la personne en question, tandis que si l’on veut montrer de la politesse et donner quelque éloge, on y substitue l’une de ces phrases :

 

Quand on parle du soleil on en voit les rayons,


Quand on parle de la rose on en voit le bouton.

 

 

 

 

 

"avoir vu le loup"

 

Avant le début du XVIIIe siècle, date d'apparition de son sens actuel, cette expression était simplement liée à la chasse au loup, activité considérée comme dangereuse. Elle désignait une personne aguerrie, expérimentée.

Mais au XVIe siècle, "la danse du loup" désignait l'acte sexuel et au XVIIe, "danser le branle du loup" voulait dire "faire l'amour" (exercice pour ce soir : dire à son conjoint « dis-moi chéri(e), et si on dansait le branle du loup ? »).

Avec le temps, la perte des valeurs liées à la chasse au loup, a transformé la signification de l'expression en la mêlant à celui des deux autres locutions, tout en y gardant le sens de 'expérimenté' : la jeune fille qui a "dansé le branle du loup" a maintenant de l'expérience dans ce domaine, même si elle n'est que balbutiante.

L'expression aurait pu simplement être : "avoir dansé le branle du loup".

 

 

 

"héhé! Maune  aurait pas osé mettre cette expression  je l'ai fait a sa place ... vite je file !!!!!"

 

 

et si , Léon  même que je vais mettre une jolie photo grosse truffe !

 

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Présentation

  • : Le blog de Maune
  • : Léon, croisé Golden et Beauceron, raconte son arrivée chez sa nouvelle maîtresse, Maune, avec les doigts de celle ci. Il ajoute sur ce blog tout ce que Maune trouve sur les Léon ainsi que ses coups de coeur. A partir de la page 19, Maune et Léon consacrent certain de leurs articles aux activités professionnelles ou ludiques, canines et humaines.
  • Contact

Maune & Léon

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léon maun

Texte Libre

   le loup et le chien



Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

Les Fables, Livre Iby Emlyn

Texte Libre

Au fond du vieux refuge
Dans une niche en bois
Depuis deux ans je purge
D'avoir trop cru en toi
Tous les jours je t'attends
Certain que tu viendras
Tous les soirs je m'endors
Sans que tu sois là.
Que c'est-il donc passé
Pour que ce 16 juin
Heureux que tu étais
Je me rappelle bien
Tu sifflais, tu chantais
En bouclant les valises
Que tu m'aies attaché
Là devant cette église
Ton absence me pèse
Et les jours sont si longs.
Mon corps s'épuise
Et mon coeur se morfond
Je n'ai plus le goût à rien

Et je deviens si laid
Que personne jamais
Ne voudra m'adopter.
Tu m'as mis à la chaîne
Ou tu m'as enfermé
Tu m'as laissé des jours
Sans boire et sans manger
J'ai dormi bien souvent
Dans ma niche sans toi
Paralysé, raidi
Tellement j'avais froid.
Pourtant si tu reviens
Nous partirons ensemble
Nous franchirons en choeur
La porte qui ressemble
À celle d'une prison
Et que je ne veux plus voir
Et dans laquelle hélas!
J'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine
Car je vois le gardien

Et le vétérinaire au loin
Ils entrent dans l'enclos
Et leurs visages blêmes
En disent long pour nous
Sur ce qu'ils nous amènent
Je suis heureux tu vois
Car dans quelques instants
Je vais tout oublier
Et comme il y a deux ans
Je m'endormirai sur toi
Mon seul et grand ami
Je dormirai toujours
Grâce à l'euthanasie.
À vous tous les humains
J'adresse une prière
Me tuer tout petit
Aurait peiné ma mère
Mais il eût mieux valu
Pour moi cette manière.
Et vous n'auriez pas eu
Aujourd'hui à le faire.
Texte de Monsieur :  DUMAS Gilbert

Texte Libre

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Texte Libre

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              L'homme est un loup pour l'homme...............

 

                         .............. et un gros con pour le Loup....

 

 

 

 

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Un enfant seul

Tout seul avec en main

Une belle tranche de pain,

Un enfant seul

Avec un chien

Qui le regarde comme un dieu

Qui tiendrait dans sa main

La clé du paradis des chiens.

Un enfant seul

Qui mord dans sa tranche de pain,

Et que le monde entier

Observe pour le voir donner

Avec simplicité,

Alors qu'il a très faim,

la moitié de son pain

Bien beurré à son chien.

 

 

Maurice Carême

 

 

 

 

 

 

 

La mort du loup

I

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

II

J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "

 

Alfred de Vigny (1797- 1863)